POINTS SUR L'HISTOIRE. Astrid est une femme pétillante, dynamique, motivée. C'est le genre de femme à l'aise en société, avec beaucoup d'amis, qu'on adore. Mais elle cache aussi un cœur brisé : son fils Benjamin lui a été enlevé par le WCKD il y a huit ans.

Astrid, son époux et leur fils vivaient dans une ville épargnée par la braise. Ils prévoyaient de déménager à Denver pour éviter de contracter la maladie. Astrid était absente quand le WCKD est passé chez elle. Son époux avait les premiers symptômes de la braise et il a supplié le WCKD de protégé son garçon, ce qu'ils ont fait en l'enlevant. En retournant chez elle, Astrid a découvert son époux décomposé, malade, enfermé dans sa chambre et la suppliant de partir. « C'est le WCKD qui l'a, c'est le WCKD... »
Arrivée à Denver, Astrid n'a jamais plu eu de contact avec son époux. Elle lui en a voulu d'avoir laissé ça se produire. Elle s'est installée et a repris sa vie. En apparence, elle va bien, même si on ne sait rien d'elle. Elle est très secrète. Mais dès qu'elle entend parler du WCKD, elle fuit ou s'effondre. Elle a peur pour son fils, sans savoir qu'il est déjà décédé. (son fils est le renommé Louis envoyé au bloc A le premier mois de la première année)

Points à respecter, le reste est libre :
-Astrid n'a jamais été riche. Elle a toujours été une bosseuse.
-Elle a eu son fils au minimum à 19 ans. Ca dépendra de l'âge que vous lui donnerez mais Benjamin aurait eu 17 ans aujourd'hui. Il est décédé à l'âge de 15 ans.
-Son mari est certainement mort à l'heure qu'il est, mais elle n'en sait rien.

quelques traits de caractère : dynamique + secrète + sociable + dévastée + maternelle + impulsive + naturelle + bornée + astucieuse + peut parfois trop vite baisser les bras + compatissante + ...

gabriel prescott ft johnny depp › Gabriel et Astrid se sont rencontrés par hasard dans la boutique où est employé Gabriel. Elle venait faire faire un double de ses clés. La morosité de Gabriel n'a en rien entaché la bonne humeur d'Astrid. Elle est restée avenante, souriante, autant qu'elle pouvait l'être jusqu'à ce que la télévision passe des informations sur le WCKD. De la propagande. Tous les deux ont levé la tête, le visage de Gabriel s'est teinté de tristesse et de culpabilité quand celui d'Astrid a rougi de colère. Elle est partie sans payer, sans sa clé, sans son porte-monnaie laissé sur le comptoir. Elle est revenu quelques jours plus tard ; Gabriel était toujours là, avec toutes ses affaires. Ils ont parlé, elle lui a confié ses secrets, ses sanglots. Il ne s'y attendait pas mais il a accepté de recevoir ce fardeau. Ils sont devenus amis. Et un jour, elle lui a décrit son fils. Une description parfaitement cohérente avec un enfant qu'il a vu grandir au WCKD, qu'il a vu mourir au WCKD. Benjamin est Louis. Louis, tué par un griffeur avant même que la boîte ne remonte.

Gabriel et Astrid sont amis, désormais. Avec toute la complexité que cela implique. Car ce qu'Astrid ne sait pas, c'est que Gabriel travaillait au WCKD. Il a conçu, inventé, amélioré, les épreuves que le WCKD a fait subir à son fils. Il est responsable de la mort de Louis. Et ça non plus, elle le sait pas. Gabriel ne veut pas lui révéler que son fils est mort. Parce qu'Astrid est une amie, parce qu'il veut la protéger, se protéger lui-même aussi. Mais comment réagira-t-elle quand elle apprendra qui est vraiment Gabriel, ce qu'il a fait, ce qu'il lui a caché ?
   

pseudo › Et Epigonus quidem amictu tenus philosophus, ut apparuit, prece frustra temptata, sulcatis lateribus mortisque metu admoto turpi confessione cogitatorum socium, quae nulla erant, fuisse firmavit cum nec vidisset quicquam nec audisset penitus expers forensium rerum; Eusebius vero obiecta fidentius negans, suspensus in eodem gradu constantiae stetit latrocinium illud esse, non iudicium clamans. Quam ob rem ut ii qui superiores sunt submittere se debent in amicitia, sic quodam modo inferiores extollere. Sunt enim quidam qui molestas amicitias faciunt, cum ipsi se contemni putant; quod non fere contingit nisi iis qui etiam contemnendos se arbitrantur; qui hac opinione non modo verbis sed etiam opere levandi sunt.