POINTS SUR L'HISTOIRE.
- elle a une maladie au cœur, la résistance lui procure les soins qu'il lui faut et c'est grâce à ça qu'elle n'est pas encore morte.
- en grandissant, elle s'est mise à détester ses parents sans aucune raison.
- son frère est la seule personne qu'elle a un jour réellement aimé (sauf si bien sûr vous concoctez une jolie histoire d'amour qui apparaîtra dans sa fiche et tout).
- elle joue la poupée désarticulée, hermétique aux sentiments pour ne pas souffrir.
- son père a finalement contracté la Braise.
- le sort de sa mère est à votre entière disposition suivant l'histoire que vous allez concocter.
- elle vivait à Rome avant de fuir avec sa mère et son frère dans une petite ville à côté dans le but d'échapper à son père malade.
- elle a haï sa mère lorsque le wicked est venu prendre cesare.
- la suite de son histoire est libre.
- le caractère est libre, je veux juste que son côté poupée désarticulée/fille déshumanisée/hermétique aux émotions soit conservé.

archy di angelo › Cesare et Alba, ils ont un lien fusionnel étrange. Leur différence d'âge n'a jamais détruit leur relation ou établis une barrière entre eux. Toujours là pour l'autre, comme deux jumeaux. Ils se sont aimés si fort que la pensée qu'un jour ils puissent être séparés les terrorisait. Ils n'avaient besoin que de l'autre. Ils étaient à la fois meilleurs amis et frère et sœur. Indissociables, voilà ce qu'ils étaient. Sauf qu'il a dû partir et qu'il l'a finalement oublié. Depuis ce jour, elle met toute son énergie dans l'espoir de le retrouver un jour. Elle voue une haine si grande à l'encontre du wicked qu'elle désire détruire cette organisation qui lui a volé son souffle de vie, son petit frère.

pseudo › Et Epigonus quidem amictu tenus philosophus, ut apparuit, prece frustra temptata, sulcatis lateribus mortisque metu admoto turpi confessione cogitatorum socium, quae nulla erant, fuisse firmavit cum nec vidisset quicquam nec audisset penitus expers forensium rerum; Eusebius vero obiecta fidentius negans, suspensus in eodem gradu constantiae stetit latrocinium illud esse, non iudicium clamans. Quam ob rem ut ii qui superiores sunt submittere se debent in amicitia, sic quodam modo inferiores extollere. Sunt enim quidam qui molestas amicitias faciunt, cum ipsi se contemni putant; quod non fere contingit nisi iis qui etiam contemnendos se arbitrantur; qui hac opinione non modo verbis sed etiam opere levandi sunt.