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 PERSEPHONE ▼ if you're looking for the demons to play while with your own

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Percy Wombley

Percy Wombley
SUBJECT B21 : THE PEACE KEEPER

Messages : 527 Avatar : ♦ shailene woodley
Pseudo : ♦ szalona. (paula)
Copyright : ♦ halloween (avatar) | bizzle (signature)
PERSEPHONE ▼ if you're looking for the demons to play while with your own GSpjB0m
Occupation : ♦ cartographe, bloc b.

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Message(#) Sujet: PERSEPHONE ▼ if you're looking for the demons to play while with your own PERSEPHONE ▼ if you're looking for the demons to play while with your own EmptyVen 27 Mar - 18:34

percy wombley
ft. shailene woodley.
✱ détient un sens de l'observation et de déduction "hors-normes", à en croire ses éducateurs du WCKD.
✱ arrondit les angles, apaise les tensions, règle les conflits. c'est plus fort qu'elle. ✱ colérique et impulsive. ✱ ne supporte pas de ne pas savoir et de ne rien faire. ✱ prend ses responsabilités très aux sérieux. ✱ utilise son sens pour dresser une liste des points forts et des faiblesses de chacun, et s'en sert comme un moyen de pression, ou même une arme.
IDENTITY CARD.

ORIGINE DU PRÉNOM : perséphone, fille de zeus et déméter, reine des enfers.
VÉRITABLE PRÉNOM : heather. heathie, alternativement. mais celui-là, il est réservé.
ÂGE : dix-neuf ans, bientôt vingt, sans qu'elle ne le sache.
DATE & LIEU DE NAISSANCE : memphis, tenessee, usa, 14/04/2212
ORIGINES : américaines, purement et simplement.
DATE D’ARRIVÉE AU BLOC : avril de la deuxième année (juin dans le bloc)
OCCUPATION : cartographe.
GROUPE : blocardes.
CRÉDIT : ROBSTEN. (avatar), tumblr (gifs)
QUESTION TIME

pour quelle raison pensez-vous être dans le bloc ? pour moi, c'est une prison. j'ai du faire quelque chose de mal, comme toutes les autres. et pour nous punir, plutôt que de nous emprisonner de façon "basique", comme j'arrive à peine à me souvenir, on nous a balancée là, après nous avoir effacer la mémoire, entourée de murs infranchissables et de créatures, je suppose, abominables. je ne sais ce qu'on a bien pu faire, dehors. mais c'était sûrement très grave, pour nous envoyer dans un endroit pareil. que pensez-vous du labyrinthe ? trop grand, trop menaçant, trop compliqué... mais tellement fascinant. le jour d'après mon arrivée, une fois mon mutisme disparu, j'avais déjà commencé à l'observer. le fait qu'après un an et demi coincées à l'intérieur, aucune des blocardes n'avait trouvé la solution... ça me rendait extrêmement curieuse. et ma tête était vide, ce qui m'insupportait. il fallait que je sache. et puisque je ne pouvais pas me rappeler d'avant, j'ai décidé de me focaliser sur maintenant. pensez-vous pouvoir sortir un jour ? j'y travaille, j'y travaille. le fait que la solution n'est pas été trouvée après tout ce temps ne m'effraie pas. les cartes, les plans, tout ça, c'est ce que j'aime. et je compte bien m'en servir pour percer le secret de cette énigme. quelles relations entretenez-vous avez les autres blocards ? j'essaie de faire en sorte que tout se passe bien. ce n'est jamais très calme, au bloc, mais tout le monde s'entend à peu près correctement - moi incluse. évidemment, il y en a que je ne peux pas encadrer. trop dures, trop haineuses, peu importe. mais je m'efforce de rendre l'atmosphère plus paisible, tentant de trouver du bon chez chacun - et ce, même chez celles pour qui cela semble compliqué. des idées sur les raisons de votre amnésie ? comme je l'ai dit plus haut, je pense à un genre de punition, ou de vengeance. on a fait quelque chose de mal, on a offensé les créateurs. résultat ? on nous enlève tout. on nous laisse juste un nom qui flotte dans notre tête et que se fraie un chemin jusqu'à nos lèvres. ils nous font payer. quoiqu'on ai fait, on en paie le prix.
ABOUT YOU
pseudo › szalona. prénom › pauline, paula, as you wish âge › seventeen, bitches région, pays › pays de la loire  :swag:  fréquence de connexion › JE NE VOUS QUITTERAIS JAMAIS  PERSEPHONE ▼ if you're looking for the demons to play while with your own 3587282366  multicompte ? › ot yet  :geek:  comment es-tu arrivé(e) sur grtr ? › j'ai eu un petit mp qui me disait que ce petit bijou avait ENFIN ouvert :love: ton avis sur le forum ? › il déchire, sérieux, bon boulot les filles  PERSEPHONE ▼ if you're looking for the demons to play while with your own 103131078  scénario, pv, inventé ? › inventé big up ? ›  PERSEPHONE ▼ if you're looking for the demons to play while with your own 3478061573 ptdr le smiley il s'appelle sally quoi.

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Percy Wombley

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Message(#) Sujet: Re: PERSEPHONE ▼ if you're looking for the demons to play while with your own PERSEPHONE ▼ if you're looking for the demons to play while with your own EmptyVen 27 Mar - 18:35

the story that we forgot
is still living inside of us


memphis, tenessee, seven years old


Comme tous les enfants de ton monde, tu ne mènes pas une vie comme tu le devrais. Même si tu as deux parents, qui t’ont attendue, qui t’ont appris à marcher, à parler, à être polie, qui t’ont emmenées à ton premier jour d’école. Même si tu as une maison des plus normales, avec une porte d’entrée, des fenêtres, et même une baie vitrée qui s’ouvre sur ton jardin, là où tu peux t’asseoir sur ta balançoire et demander à ton père de te pousser, haut, plus haut, encore plus haut, toujours plus haut. Même s’il t’arrive parfois de suivre tes parents, le soir, lorsque les voisins vous ont invités pour le dîner. Même si tu as des amis. Même si tu peux parler, sourire, rire, chanter, danser, courir comme n’importe qui d’autre, comme tous ceux de ton âge peuvent le faire. Ton existence n’est pas celle à laquelle tu devrais avoir le droit. Ce n’est la faute de personne, à ce qu’on dit, seulement celle de la nature et de ces règles parfois tellement, tellement injustes. Mais ton monde, il a été brûlé. Ton monde, il a été écorché vif. Ton monde, il a été consumé par cette étoile autour de laquelle il tournait, et maintenant, il fait chaud. Très chaud. Trop chaud. Les gens meurent. Trop de gens de meurent. C’est à cause de cette infamie qu’ils ont nommée à partir de tout ce qu’il leur restait sous les yeux. Des braises, des cendres, des flammes de temps en temps. Il a fallu tout reconstruire, là où c’était possible. Ton monde, il brûle. Ton monde, il souffre. Ton monde, il se meurt.

Alors comme se fait-il que tu arrives tout de même à vivre heureuse ? Parce que tu sais te réjouir des petites choses qui font que la vie est moins dure à supporter. Car c’est parfois ce qui arrive aux gens de ce monde. Ils ne supportent plus la vie. Mais quand tes parents viennent te dire bonne nuit dans ton lit, le soir, avant de t’endormir, ou quand tu te réveilles le matin avec une bonne odeur de pancakes, ou quand ton père et tout ne pouvez vous empêcher de vous courir après, sur le chemin de la maison, après ta journée d’école, comme aujourd’hui. Ça, à tes yeux d’enfants, tes yeux qui n’ont encore pas vu grand-chose de la Terre que tu foules, ça en compense tous les malheurs. C’est ce qui fait que le monde qui t’entoure n’est pas le tien. Ton monde, c’est ta maison, tes parents, ton école, tes voisins. Et c’est tant mieux. Aucun enfant ne devrait avoir à vivre dans un monde tel que celui que tes parents te cachent.

Tu cours, donc. Tes cheveux blonds dansent derrière toi, te fouettent le visage quand tu tournes vivement la tête, à la fois anxieuse et excitée à l’idée que ton père te rattrape. Tu ris quand tu le vois s’approcher, accélère. Mais arrive le moment où ses grandes jambes lui permettent d’arriver à ta hauteur, alors que ta taille encore petite ne te permet pas d’avancer plus vite. D’abord, tu l’entends s’approcher de toi, lui et ses pas qui frappent le sable. Et puis, tu sens ses mains qui te saisissent la taille, tes pieds qui quittent le sol, et son nez sur le tien, alors qu’il t’a élevée dans les airs.

« J’ai failli te semer cette fois, t’as vu, papa ? »

Il a hoché la tête en riant, et il t’a déposé par terre, avant de t’attirer contre lui, un bras autour de tes minces épaules. Le soleil commence à descendre, et vous commencez à marcher. Bientôt, votre maison apparaît, parmi tant d’autre, identique à ses voisines. Vous y pénétrez. La nuit n’est pas plus sûre que le jour, ici. Peut-être même l’est-elle beaucoup moins.



memphis, tenessee, nine years old


Ta mère te réveille. Non pas par ses habituelles pluies de baisers, ou par sa voix douce qui vient chatouiller ton oreille pour te retirer d’entre les bras de Morphée. Non, ce matin-là, elle te secoue, appelle ton nom. Et non pas doucement comme elle a l’habitude de le prononcer, mais d’une manière hâtive, trop rapide pour ton cerveau qui doucement émerge du sommeil.

« Heather. Heather. Allez, réveille-toi. S’il te plait trésor, lève-toi vite. Mets un manteau. Fais pas attendre maman, Heather, d’accord ? »

Tu hoches la tête. Elle aussi. Elle quitte ta chambre et, deux ou trois minutes plus tard, tu fais de même. Tu as rapidement troqué ton pyjama contre un vieux pantalon et une chemise à carreaux, que ta mère t’avait posés sur la chaise de ton bureau, le soir précédent. Elle n’est pas dans le salon. Ni dans la cuisine. Elle n’est nulle part. Tu plisses les sourcils. Décide de l’appeler.

« Maman ? »
« Dehors, chérie. Je suis dehors. »

Quelque chose ne va pas. Elle ne sort plus dehors, depuis que ton père est mort. Lui aussi, il s’était fait emporté par cette chose dont tu ne savais rien, en fin de compte. Ta mère t’avais dit qu’elle t’expliquerait, un jour. Tu ouvres la porte d’entrée, traverse la petite cour jusqu’au portail où, en effet, elle se tient debout. En face d’elle, un homme et une femme, grands, minces, droits comme des piquets. Tu les regardes, n’oses même pas les saluer, inquiète de la façon dont ils pourraient réagir. Tu lèves les yeux vers ta mère, et elle te prend la main. Tu ne sais pas ce qu’il se passe et, à cet instant précis, celui ou ta main est coincée dans celle de ta mère, et quand tu la sens se serrer sur tes doigts, tu as peur.

« Tu es Heather, c’est ça ? »

Tu ne leur réponds que par un hochement de tête. Tu as peur de leur parler, peur qu’il pourrait te le reprocher.

« Tu sais que ta maman va bientôt mourir, n’est-ce pas ? »

De nouveau, tu opines du chef. Elle te l’avait dit, quelques jours auparavant. Elle avait dit qu’elle était malade. Qu’elle avait attrapé la même chose que ton père. Que dans quelques mois, elle ne pourrait plus s’occuper de toi.

« Tu vas venir avec nous, d’accord ? On va s’occuper de toi. »

Tu n’oses rien faire, cette fois. Tu restes stoïque, laisse la femme te prendre la main qu’il te reste de libre. Ta mère te lâche l’autre, et tu l’entends lâcher un sanglot et un je t’aime dissimulé par le bruit que font tes pas quand tu marches, jusqu’à la voiture qui était garée devant chez toi, que tu n’avais pas encore remarquée. Tu entends la porte du voisin s’ouvrir et se refermer, mais tu ne tournes pas la tête. La voix d’Iwan te parvient, et à ce moment, tu ne réalises pas que tu risques de ne plus jamais l’entendre. Que plus jamais il ne te parlera, que plus jamais vous nous jouerez dans le jardin de l’un ou de l’autre. Iwan, c’est un peu comme ton grand frère. C’est celui que jamais tu n’avais imaginé perdre, de qui jamais tu n’aurais pensé être éloignée.

« Moira ! Ils emmènent Heather ? »

Ta mère ne réponds pas. Ou si elle le fait, tu ne l’entends pas. La porte arrière s’ouvre, tu t’assois sur la banquette, et tu te retrouves seule dans cette voiture pendant un instant. Tu vois qu’Iwan discute avec les deux personnes qui t’ont assise dans la voiture, mais à cause des vitres, tu ne peux rien entendre. Tu vois juste ses lèvres bouger, la colère sur son visage. Les deux autres lui font signe de se calmer avec leurs mains, toujours bien droits, comme plantés dans le sol. Ils finissent par se retourner, et ton regard croise celui de ton voisin. Vous vous regardez quelques secondes et, alors que la voiture démarre, et que tu prends conscience que ça y est, tu pars, tu arrives à lire trois mots sur ses lèvres.

Je t’aime.





w.c.k.d, fifteen years old.


Tu étais dans cette salle, encore. Une grande salle rectangle, aux murs blancs, avec des chaises contre les murs. D’habitude, elle était plus pleine que ça. Il y avait encore dix chaises de libre. Tu passes tes doigts à l’arrière de ta nuque, à travers tes mèches blondes. Vous vous regardez, toi et les autres, sans s’attarder sur un visage plus de trois ou quatre secondes. Tu te pinces les lèvres, joints tes mains sur tes cuisses. Tu n’en peux plus d’attendre. Une autre fille en face de toi soupire, et tu lui souris, compatissante. Et puis, une des portes s’ouvre enfin. Un jeune homme brun passe devant vous sans vous adresser un regard, alors qu’un autre, plus âgé, attends dans l’embrasure de la porte.

« Heather ? »

Tu hoches la tête, te lève. Il te laisse entrer, t’y invitant en écartant le bras et en te souriant. Tu traverses la pièce, tes pas résonnant sur le carrelage. La porte se ferme derrière toi. Tu n’as plus besoin que l’on te dise ce que tu dois faire : ça fait six ans que tu t’avances vers la chaise qui te fait dos, et que l’autre, en blouse blanche, occupe celle en face de toi. Celui qui est venu te chercher s’installe à côté du scientifique, et ils te sourient tous les deux.
« Tu te rappelles du test de la pyramide, n’est-ce pas ? »
« Celle que l’on doit inverser, sans bouger de plus de trois pions ? »
« J’aimerais que tu le refasses, s’il te plaît. » C’est la première fois que tu le vois. Celui qui était déjà là avant que tu entres. Il a l’air plus vieux. Son crâne est dégarni, ses cheveux grisonnants, et ses lunettes sont de travers. Tu acquiesces, t’empare du stylo et du papier en face de toi, et commences.

Tu dessines la pyramide comme on te l’avait présenté la dernière fois. Quatre cercles, trois en dessous, puis deux, puis un seul. Le but de ce test, c’était d’inverser la pyramide. Que le sommet se retrouve en haut, et la base en bas de la feuille. Beaucoup avait essayé de la relever, alors qu’il suffisait simplement de la faire se retourner sur elle-même, à cent quatre-vingt degrés. Tu reproduis un cercle au-dessus de la pyramide, barrant celui du dessous. Quant au deux se trouvant aux extrémités de la rangée de quatre, tu les déplaces jusqu’aux extrémités de la ligne de deux. Tu le connais. C’est un des derniers que l’on t’a fait faire. On t’a demandé de démêler des nœuds, de résoudre des énigmes à première vue indéchiffrables. Et tous ces tests, tu les avais résolus plus rapidement que tous les autres jeunes présents dans ce bâtiment. Et celui de la pyramide, tu l’avais fait aussi rapidement la première fois que celle-ci. Le scientifique opine du chef, jette un coup d’œil au fichier qu’il a devant lui.
« Complique-le. »
« Excusez-moi ? »
« Rends-le plus difficile à résoudre. Choisis une autre forme, augmente le nombre de pions, je ne sais pas ! Mais complique-le. »

Tu l’as regardé, avec  tes grands yeux noisettes, avant d’hausser les épaules et de commencer à réfléchir. Tu trouves des variantes au fur et à mesure que tes yeux parcourent la figure. Tu ne le sais pas, car tu n’entends pas, mais tous ceux ayant eu l’occasion de t’observer face à un problème de logique avait juré que ton sens de l’observation et de déduction était hors-normes. C’était comme si ton cerveau recevait les messages que tes rétines lui envoyaient plus rapidement. Ce qu’ils ne savaient pas, c’étaient que tu te servais de tes sens aiguisés dans chaque situation dans lesquelles tu te trouvais. Depuis que tu étais arrivée ici, tu n’avais cessé d’observer. Les gens, les lieux. Tes camarades, tes éducateurs, tu connaissais tous leurs points forts et toutes leurs faiblesses. Un lourd secret qui se voyait à la manière de baisser les yeux, où de se ronger les ongles. Une prothèse au genou ou au coude qui, en cas de combat, était fort handicapant. N’importe qui pouvait t’attaquer, verbalement ou physiquement, tu connaissais le moyen de les neutraliser. Dresser les profils des gens restait ton arme la plus fatale. Il n’y a rien de pire que de savoir que l’on a été percé à jour par une gamine. Au bout d’une heure de travail, un peu plus d’une centaine de modèle s’étalait devant toi, et les deux hommes te regardaient, bouche-bés.

« Merci Heather. Tu peux y aller. »

Tu les remercie en un murmure, et sort de la pièce. La plupart de ceux qui attendaient avec toi tout à l’heure sont partis, mais il en reste un ou deux. Un garçon, du nom de Clark, est appelé à son tour. Vous vous croisez, vous vous souriez, et tu quittes la grande salle blanche, avant de prendre la direction de ton dortoir.





w.c.k.d, seventeen years old.


Tu es encore en train de coincer des mèches rebelles dans l’élastique qui retenait tes cheveux en chignon quand tu es sortie de ta chambre. Tu bailles, renifle, remonte la manche de ton T-shirt beige sur ton épaule. Ce T-shirt est trop large, et ton épaule droite se retrouve dénudée toutes les deux minutes. Mais peu importe. Pour l’entraînement physique, c’est ce qui te convient le plus : confortable, léger. Tu marches jusqu’à la salle d’entrainement sans même t’en rendre compte. Tu n’as pas besoin de réfléchir, tes pieds se mettent l’un devant l’autre sans même que tu en aies conscience. Ce dédale que forment les couloirs du WCKD, tu le connais par cœur, pour les fréquenter depuis huit longues années. Tu salues ceux que tu connais, qu’ils soient enfants, adolescents ou adultes, alors que tu traces ta route. Au début de ton séjour ici, tu regardais partout autour de toi – les lieux, les gens. Désormais, tu ne regardes plus, tu poses juste ton regard, parce qu’il faut bien le poser quelque part. Tu ne ressens plus ce besoin de tout savoir sur tout et tout le monde, parce que tu sais déjà tout.

Tu pousses les portes de la salle qui battent derrière toi une fois les avoir passée. Tu te diriges en direction du banc, om tu poses ton pied gauche pour refaire le lacet de ta chaussure. Tu passes une main sur ton front, bien que tu ne transpires pas encore. L’entraîneur vous demande de vous rassembler, et vous êtes rapidement une bonne vingtaine à vous agglutiner autour de lui. Il vous redirige vers les punching-balls. Tu détestes les punching-balls. Tu déteste les combats, tu déteste l’entraînement physique. Toi, tout ce que tu voudrais, c’est rester dans ta pièce et résoudre des énigmes jusqu’à ce qu’on te dise ce que tu fais là. Tu ne veux pas frapper, que ce soit des sacs de sable ou tes camarades. Si tu pouvais les appeler ainsi. Tu ne sais pas ce que vous êtes, pourquoi vous êtes là, pourquoi est-ce qu’on aiguise vos capacités mentales et physiques. Tu te mets au travail. Tu t’épuises vite. Et tu crois revivre quand tu entends une voix crier « De l’eau ! Qui veut de l’eau ! ». Tu l’entends arriver vers toi, mets prétends ne pas y faire attention jusqu’à ce que tu sois sûre que la voix s’adresse bien à toi.

« On a soif, mademoiselle ? »
Tu acquiesce, tourne la tête, affabulant ton doux visage d’un sourire reconnaissant. Que tu fais aussitôt disparaître quand tes yeux croisent ceux de celui qui, désormais, te tendait une bouteille d’eau. Tu déglutis, et son sourire à lui s’agrandit. Il t’a reconnue.

« Iwan. »
« Comment tu vas, Heathie ? »

Tu sens ta bouche s’ouvrir malgré toi. Plus personne ne t’appelait comme ça. Tu le regardes, inspecte son visage. Il a l’air d’aller bien, d’être heureux. Tu serais presque contente de le voir. Mais un léger détail t’empêche de lui rendre son sourire. Un badge, qui pend à son cou. Avec sa photo, son nom, et quatre lettres écrites en gros, au fond. WCKD.

« Qu’est-ce que tu fais là ? »
« J’donne de l’eau. Pour le moment. Après, j’pense que je pourrais être un genre de coach, tu v… »
« Tu bosses pour le WICKED ? »

Il ne répond pas. Son sourire se détend, pour finalement s’effacer, et ses yeux se voilent.

« Ça paye bien. Et c’est pas mal, comme travail. Mieux que de s’occuper de virer les fondus de Memphis. Ils m’ont proposé de faire ça, je les ai envoyés balader. »
« T’es pas sérieux ! Tu préfères rester passer ta vie ici plutôt que chez toi, avec ta famille, tes amis, tout ce que t’as toujours eu ? T’as tout laissé tomber pour venir ici ? »
« Je suis venu ici pour toi, Heather. »
« Ah ouais ? Et ben j’ai pas besoin de toi. »

Tu lance ton poing gauche dans le sac en face de toi. Tu as l’impression d’entendre tous tes doigts sous casser après l’impact, mais tu ne laisses rien paraître. Tu n’as pas besoin de lui. Plus maintenant. C’était le jour où ils étaient venus te chercher, que tu avais eu besoin de lui. Il aurait dû encastrer les employés du WICKED dans un mur, courir pour t’ouvrir la porte, te prendre la main, t’emmener quelque part pour te cacher, et te forcer à rester vivre avec sa famille. Les Arkwright, ils t’auraient accueillie. Tu en avais toujours été certaine. Même si tu n’avais plus de parents, et aucune fratrie, tu les avais, eux. Tu aurais voulu qu’il te fasse sortir de cette foutue voiture. Mais il avait crié, pour finalement te regarder partir. Et, tu venais seulement de le réaliser, mais tu lui en voulais.

« Dégage, Iwan. »
« Heath… »
« Tire-toi, j’te dis ! »

Plusieurs regards se tournent vers vous. Il pince les lèvres, opine lentement du chef. Il tente de sourire, tu le vois bien, mais n’arrive qu’à produire une maigre grimace. Enfin, il marche, s’éloigne. Et bientôt tu ne le vois plus.



bloc b, “the glade”, eighteen years old


Tu tousses. Tu as beau tousser encore, encore et encore, l’eau n’arrête pas de sortir de ta bouche. Tu vomis aussi, et te concentre à ne pas mettre tes mains dans la flaque, en face de toi. Allongé sur un sol en métal, les jambes pliées, appuyée sur tes bras, tu ne sais pas ce que tu fais là. Tu ne sais pas d’où tu viens. Tu ne sais pas qui tu es. C’est insupportable. Tu veux savoir, absolument. Tu regardes autour de toi. Des boîtes, en bois ou en fer. Tu penses voir un peu de nourriture. Tu es enfermée dans un cube de métal, comme par des grillages, mais plus épais. Il monte, ce cube, à une vitesse folle qui te donne la nausée. Où ça t’emmène ? Pourquoi tu ne sais pas ? Tu sais que tu as vécu, mais tu ne sais pas quoi. Tu as un nom, c’est certain, mais tu ne le connais pas. Tu recule sur tes genoux jusqu’au bout de l’ascenseur, t’adosses contre le métal froid, qui brûle ta peau à travers ton haut de coton beige. Tu plies  tes jambes, ramènes tes genoux contre ta poitrine, les sers de tes bras et poses ta tête dessus. Réfléchis. Tu sais forcément qui tu es. Tu es quelqu’un, c’est obligé, et tu dois le savoir. L’ascenseur accélère, tu distingues un bruit. Un bip, qui se répète. Encore. Encore. Ça te donne la migraine. Tu ne supportes pas cette situation. Tu cries. L’ascenseur s’arrête brusquement, le bruit aussi.

Et puis, la lumière.

Plusieurs visages féminins qui te scrutent. Elles doivent toutes être adolescentes.
« C’était toi, ce cri horrible, là ? »

Tu n’oses pas répondre. En fait, tu n’y arriverais pas, quoiqu’il en soit. Tes cordes vocales semblent figées.

« Bon, j’vais la chercher.»

Celle qui venait de parler descend jusqu’à toi, te prend par les bras et te lève. Elle fait au moins deux têtes de moins que toi. Elle te regarde, incline la tête pour regarder ton profil.

« Elle a une tête d’intello, non ? »

Les autres rient. Elle te demande de la suivre, et tu t’exécutes, toujours sans faire sortir le moindre son de ta gorge. Tes yeux commencent à s’habituer à la lumière. Tu marches sur l’herbe. Ton pantalon kaki est déjà taché, et tu te rends compte que tes épaules sont recouvertes d’un gilet bordeaux, tout fin. Autour de toi, tout est vert. De l’herbe, des arbres. Mais tu ne vois pas grand-chose, au milieu de ce cercle de filles. Comment est-ce possible de pouvoir se rendre compte de tout ça sans connaître quoique ce soit sur sa propre identité, et sur sa propre vie ?

Tu t’enfuis. Tu essaies de courir, mais au bout de quelques mètres, tu abandonnes. Tu trouves un arbre, pas trop loin, et tu vas t’y adosser, sous le regard intrigué des autres. C’est là que tu vois les murs. Une gigantesque enceinte de béton, entourant l’endroit où tu trop trouvé, troué par quatre portes colossales. Quel était cet endroit dans lequel tu t’étais retrouvée ? Tu as peur. Ton cœur bat tellement vite que tu as l’impression qu’il va sortir de sous ta cage thoracique. Tu veux savoir. Tu reprends la même position fœtale que tout à l’heure, et recommence à essayer de te rappeler. Aux heures des repas, d’après tes suppositions, une rouquine est venue avec une assiette pour toi.

« J’te préviens, Greenie. Demain, si t’as faim, tu devras te bouger. »

C’était le geste qui comptait, après tout.

Tu as fini par t’endormir, trop tôt pour voir les portes du Labyrinthe se fermer. Tu somnolais encore un peu quand tu as senti des mains te saisir sous le dos et les genoux. Tu as ouvert les yeux quelques instants, et on t’a finalement allongée. Du mou. Du douillet. L’image d’un lit t’es revenue, tu as essayé de t’y accrocher, de la localiser dans un endroit précis, à un moment précis, mais elle est partie aussi vite qu’elle était venue. Tu entends un très, très léger Bonne nuit, Greenie, et tu succombe aux avances de Morphée.

Le lendemain, tu ouvres les yeux en même temps que tout le monde. Et tu n’as qu’une chose en tête.

Un nom.

Persephone.



“the glade”, nineteen years old


Encore une nuit passé dans la Salle des Cartes, seule avec Aria et vos plans. Cela fait quelques mois qu’elle t’a choisie pour le poste de Cartographe. Tu avais essayé tous les jobs que le Bloc pouvait t’offrir, mais tu n’avais satisfaction nulle-part. Seule l’idée de passer ton temps à dessiner, observer, déchiffrer et deviner t’avait vraiment plu. Le jour où toutes les matons s’étaient réunis, tu avais seulement peur de la réponse d’Aria. Qui t’avait acceptée, à ta plus grande joie. Et depuis, tout allait mieux.

Tu te sentais enfin chez toi, ici, bien que tu sois toujours frustrée de ne pas réussir à te souvenir de quoique ce soit. Ton nom était tout ce qui te restait. C’était normal, d’après toutes les autres : aucune blocarde n’avait réussi à se rappeler de quoique ce soit d’autre. Les blocardes, elles étaient hautes en couleur. Toutes différentes. Plus ou moins aimables, serviables, sociales… Le calme n’était pas le maître mot entre les murs du Bloc, mais la diplomatie y régnait tout de même en maître. Tu t’étais surprise à essayer d’apaiser les tensions, à plusieurs reprises. Et, bien que ces moments se fassent rares, on t’avait déjà appelée au secours lorsque deux filles risquaient d’en venir aux mains.

Il ne devait pas être très tôt quand tu es sortie de la Salle des Cartes, ce matin-là. Le soleil illuminait tout le bloc, les Coureuses l’avaient déjà quitté – elles n’apparaissaient nulle part. Tu te diriges vers la cuisine, suivant ta maton, quelques mètres derrière elle. Volt vous attendait. Elle vous tend deux assiettes, et vous allez vous asseoir.

Et puis, le bruit.

« Ah, voilà la nouvelle. »

Tu hoches la tête, te lèves. Toutes les deux, vous rejoignez la foule qui s’était formée autour de la Boîte. Elle s’ouvre et, comme lors de ta propre arrivée, Nésis saute à l’intérieur. Tu te dresses sur la pointe des pieds, tentant d’apercevoir le visage de la nouvelle arrivante. Elle devait avoir quatorze, quinze ans peut-être, mais pas beaucoup plus. Ses longues mèches brunes, mouillées, collaient à son visage. Elle tremblait, vous regardait toutes avec un air à la fois apeuré et rassuré. Elle sort de la boîte après la Coffreuse. Elle passe une main sur son visage de poupée.

« Vous êtes qui ? C’est quoi, ici ? »

Personne n’a répondu à ses questions. Ce n’était pas l’heure. Perdue, la Greenie. Comme vous toutes.

« On devrait se mettre au boulot. »

La foule s’active. Vous entreprenez toutes de vider la boîte, laissant la petite au milieu de l’herbe. Tu sors les provisions, les passe aux cuisinières. Tu découvres avec joie que de nouveaux crayons et des paquets de feuilles blanches font partie de la marchandise. Tu appelles Aria, lui montres, elle sourit à son tour. Vous vous répartissez les fournitures, prenez le chemin de la Salle des Cartes. En passant devant la Greenie, tu lui adresses un sourire bienveillant.

« Attends-moi là, je reviens vite. »

Elle hoche la tête, lentement. Quelques minutes plus tard, après avoir tout rangé dans la Salle, tu rejoins la nouvelle. Elle n’a pas bougé. Tu la diriges vers la cuisine, où tu lui fais prendre un peu dans ton petit déjeuner. Vous allez lui chercher des vêtements secs et, pendant qu’elle prend une douche, elle te pose des questions à travers la porte. Tu ne réponds à aucune d’entre elles. C’est le rôle de June, ça, de répondre aux questions des Greenies. Mais tu la rassure quand elle te dit qu’elle ne se souvient de rien. Tu répètes ce que l’on t’avait dit. Vous êtes toutes passées par-là. Cela semble l’apaiser. Tu la laisses après le repas du midi, obligée de retourner travailler avant le retour des Coureuses. Tu ne ressors que le lendemain matin et, quand la nouvelle t’aperçoit à la hauteur de la ferme, où elle avait passé la nuit. Elle avait retrouvé son nom.

Mellie.
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Message(#) Sujet: Re: PERSEPHONE ▼ if you're looking for the demons to play while with your own PERSEPHONE ▼ if you're looking for the demons to play while with your own EmptyVen 27 Mar - 18:36

:deden: :deden: :deden:
love de toi, hâte de voir ta perçouille :love: :luv:
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Louise Moreau

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Inventaire : un gourde d'eau à moitié vide. ✱ une trousse de premiers secours pour soigner son orgueil en miettes. ✱ un vieux couteau bizarre, ramassé dans le désert, pour trancher la gorge des fondus trop insistants, ou peut-être même de theodore.

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Message(#) Sujet: Re: PERSEPHONE ▼ if you're looking for the demons to play while with your own PERSEPHONE ▼ if you're looking for the demons to play while with your own EmptyVen 27 Mar - 18:37

:bz: :bz: :bz:

bienvenue belle gosse, bonne chance pour ta fiche :diabo: :love: :hi:
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Message(#) Sujet: Re: PERSEPHONE ▼ if you're looking for the demons to play while with your own PERSEPHONE ▼ if you're looking for the demons to play while with your own EmptyVen 27 Mar - 18:37

SHAILENEEEEEEEE. :bz:
j'te souhaite bienvenue, j'espère que tu t'amuseras autant que nous et puis, s'il y a quoi que ce soit, le staff est là pour toi. I love you
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Volt Teller

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Occupation : maton des cuistots - pas de grand-monde donc -, maman grincheuse du bloc, raccommodeuse à ses heures perdues.
Inventaire : une brosse à cheveux, et puis tout ce qu'il y a dans sa cuisine, même si y'a pas son nom dessus. ça coupe bien quand mêmes, les lames affilées. ah, et aussi une casquette du wicked, qu'elle s'empêche pour le moment de brûler, au cas où ça servirait un jour.

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Message(#) Sujet: Re: PERSEPHONE ▼ if you're looking for the demons to play while with your own PERSEPHONE ▼ if you're looking for the demons to play while with your own EmptyVen 27 Mar - 18:39

t'es bonne paula. What a Face j'ai hâte de te lire :love:
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Percy Wombley

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Message(#) Sujet: Re: PERSEPHONE ▼ if you're looking for the demons to play while with your own PERSEPHONE ▼ if you're looking for the demons to play while with your own EmptyVen 27 Mar - 18:46

CAROLE + kr kr kr krrrrr, jotem. :love:

JADE + merci merci MERCIII :fou: :deden:

THENO + LILYYYY punaise, c'est mon bébé elle aussi :fall: merci :hop:

KIMOUILLE + toi aussi t'es bonne, j'ai hâte de te lire aussi :love: :love:
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Pandore Rosebury

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Message(#) Sujet: Re: PERSEPHONE ▼ if you're looking for the demons to play while with your own PERSEPHONE ▼ if you're looking for the demons to play while with your own EmptyVen 27 Mar - 19:17

Bienvenue ma belle. :love:
Percy est à tomber, j'ai hâte de lire la suite de ta fiche. :fall: :hi: :fou:
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Percy Wombley

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Message(#) Sujet: Re: PERSEPHONE ▼ if you're looking for the demons to play while with your own PERSEPHONE ▼ if you're looking for the demons to play while with your own EmptyVen 27 Mar - 19:57

merci à toi, hihi :hi: je finis les questions ce soir et c'est bon :love:
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Message(#) Sujet: Re: PERSEPHONE ▼ if you're looking for the demons to play while with your own PERSEPHONE ▼ if you're looking for the demons to play while with your own EmptyVen 27 Mar - 21:18

Tu es validé !
 bienvenue dans la famille hehe  

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J'ai vraiment adoré ta fiche. Comme je l'avais dit, je trouve que Shailene est parfaite dans ce rôle. J'ai hâte qu'on en apprenne plus sur la demoiselle. Et peut-être que tu as déjà prévu de faire un scénario avec le mystérieux Iwan, en tout cas, ce serait sympa d'en savoir plus sur lui. Je ne t'embête pas plus, et je te laisse faire tes premiers pas dans le Bloc B. Félicitation à toi d'ailleurs, première validée wouhou ! :deden:  

Te voilà enfin validé(e) !  Toutes mes félicitations petit membrounet. Donc, un message de validation ne sert pas juste à dire de la merde :hi:, elle sert aussi à te guider pour tes premiers pas sur le forum en tant que membre "officiel" (ce swag que t'aaas   ). Commençons par le début. Tu vas pouvoir tout de suite aller recenser ton avatar juste ici, pour ne pas que d'autres personnes prennent ton avatar. Secondos (ben ouais, ich hablo spanish :swag:), se trouver des liens entre personnages peut être assez fort intéressant pour commencer faire écrire des rps, tu peux cliquer juste ici (c'te magie) si ça t'intéresse. Durant ton long séjour ici (il sera long, PROMET-LE    ), tu pourras ramasser des points. Je t'en dis pas plus, tu peux aller lire ici toutes les infos. Par la suite, si tu n'as pas d'amis avec qui rp, tu peux entamer une dépression toujours faire une demande de rp à ce moment-là, juste ici. Par la suite, ici sur notre forum, c'est important d'avoir son rang spécialisé (c'est facultatif). On trouve qu'on se sent plus à notre place, plus à l'aise. Pour les blocards, c'est OBLIGATOIRE. Veuillez vous rendre ici s'il vous plait : clique ici. Pour finir, vu qu'on est assez cinglées en fait, il y a toujours le flood où tu peux participer. On aime flooder. C'est notre vie.  flood juste ici. L'équipe des tarées de TMR te souhaite encore un beau bienvenue remplis de bisoux.  
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Message(#) Sujet: Re: PERSEPHONE ▼ if you're looking for the demons to play while with your own PERSEPHONE ▼ if you're looking for the demons to play while with your own EmptyVen 27 Mar - 21:43

awwww merci à toi, vraiment :love: évidemment que je vais faire un scénario, atta, tu me prends pour qui :hi: encore merci :luvbz:
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