|
| (m/pris) dane dehaan ✱ arm your eyes | |
| Auteur | Message |
---|
Louise Moreau VIRUS VC321xb47 : STAGE 2 Messages : 559 Avatar : nat dormer. Pseudo : crying lightning. (jade) Copyright : astoria (avatar), tumblr (gifs). Occupation : errer dans son monde sans espoir. se maintenir en vie pour quelques jours de plus. parler à ses mirages. Inventaire : un gourde d'eau à moitié vide. ✱ une trousse de premiers secours pour soigner son orgueil en miettes. ✱ un vieux couteau bizarre, ramassé dans le désert, pour trancher la gorge des fondus trop insistants, ou peut-être même de theodore.
| (#) Sujet: (m/pris) dane dehaan ✱ arm your eyes Sam 10 Jan - 18:29 | |
| | IDENTITY CARD.
ÂGE : vingt-huit ans, c'est bien trop jeune pour mourir. DATE & LIEU DE NAISSANCE : liverpool, royaume-uni, jj/mm/04. des sonorités anglaises résonnent parfois lorsqu'il parle. ORIGINES : anglais. OCCUPATION : ancien laborantin au WICKED, il faisait des recherches sur la Braise. même maintenant, il cherche toujours un moyen de se soigner et de ralentir la maladie. STADE : un, il est encore plutôt sain d'esprit. GROUPE : fondus. CRÉDIT : amortentia. |
STORYLINE ✱ foncièrement utopiste, il s'est engagé dans des études de virologie avec en tête un idéal, plus ou moins l'espoir de sauver le monde. ✱ il était très doué dans ce qu'il faisait, et était persuadé qu'il finirait par trouver un remède. il s'est dévoué corps et âme dans le WICKED. ✱ il a toujours eu une relation plutôt cordiale avec louise, et même si une certaine compétition existait entre eux, ils ne se disputaient que rarement, et ne se parlaient que pour le travail. ✱ il avait un petit frère, Harry, qui est mort il y a quelques mois. - l'histoire de harry, par nésis isley:
Il court. Il court pour échapper à sa vie. Il court parce que les plus belles bouffées d’airs sont celle quand on sent la mort venir, à petit pas. Une sonnette au cou pour annoncer son avancé dans le cours dans la vie. Un portrait si dérisoire, la beauté de l’homme dans le désespoir de la vie. Alors il court, comme il peut. Il se brûle les jambes, ses muscles se déchirent, mais il court toujours. Le temps le rattrape, le pauvre enfant. Et quand le bonheur part, n’est plus qu’un souvenir amer et puis des épaves du passé, il oubli dans la folie. Il en oubli à s’en faire sauter la tête. D’un petit cliquetis, tout défile et c’est la fin.
« Harry ! » Qu’il hurle entre sa barbe hirsute. Qu’il hurle, le vieux bourrin, la ceinture entre les mains. Harry, onze ans, petit cerveau et cancre de sa classe. Troubadour des cœurs enfantins, il joue de sa silhouette frêle et pourtant maculé de muscle. Et si le gamin cache bien ses petits bijoux, c’est pour y dissimuler les jolies blessures parsemés sur sa peau. Son épiderme frissonne avec amertume, il n’a plus peur. Il sait que la sentence se trouve dans cette pièce. Le petit Harry n’a pas peur, ce n’est qu’un sentiment bien lointain. À huit ans, il était allé à l’école avec un joli œil au beurre noir. Il n’affolait personne le gamin, il était trop maladroit et plus faible que son si bel aîné qu’à trop se faire mal, il est devenu l’ombre de son ombre. La maîtresse disait en riant " Mais voyons Harry, tu es fort pour te cogner à un placard. " et il répondait sur un ton joueur " Et oui, madame, les placards m’apprécient trop. " Les soucis de la vie avaient donné à ce pauvre Harry un délaissement, si fort et puissant qu’aujourd’hui, ce n’est qu’un illustre inconnu parmi les élèves qui défilent. « Harry ! Je ne le répéterais pas. » Le bruit de cuir claque et ses pas grincent contre le planché. Et il avance encore, le visage fier. Il sert les points et inspire dans ses petits poumons d’enfants. Ce n’est qu’un enfant, un môme. Un petit gamin un peu con qui voit la vie de travers et qui respire à l’envers. Mais qu’est-ce qu’un gamin mérite ? Une claque ? Une fessé ? Un coup de ceinture ? N’oublions pas les marques de mégots dans le bas de ses reins. Et après, on se dit que le monde va mal. C’est en laissant des crétins pareils faire de la vie, une merde ambulante. Une merde qui nous empêche de vivre de jour en jour. Dites-moi, ce qu’un gamin qui reçoit un zéro mérite. Ce qu’un gamin insolant un peu trop perdu devrait recevoir comme punition. Il est clair que pour son père, un inconnu X grand scientifique de renommé, les coups fusent et ainsi, la morale rentre. Pauvre père, s’il savait que son gosse n’était qu’un crétin qui n’écoute même pas les paroles des femmes. Harry, douze ans, qui souffle sur ses bougies et grandit trop vite pour recevoir encore plus de coup. Harry, gamin délaissé et délabré.
« Harry, t’es là ! Viens, j’t’assure que c’est génial ici ! » Il tend son bras musclé d’adolescent terminé à son meilleur ami, un certain Andrew, dit Andy au plus grand bonheur des dames. Ils entrent ensemble dans le vieil entrepôt délabré où on entend la musique au loin. Repère des gosses de riches qui tentent de sentir le bonheur leur brûler la peau, la musique bourdonne dans les oreilles des amis et si Andy s’échappe déjà pour une danse à une inconnue, le beau Harry se déplace pour se servir à boire. Ses yeux virvoltent entre les corps sensuels des femmes qui s’amusent et s’il se permet des petits sourires malicieux, charmeur, il ne fait pas attention à la petite chose qui glisse contre son corps et dévale avec lui. Une petite princesse aux cheveux cours et au regard azur. Une femme qui panse le malheur de son cœur. « Tu n’aurais pas pu faire attention ? » Qu’elle s’exclame, sublime créature de la nuit. Il ne répond pas, l’enfant, il bégaie un peu, mais n’arrive pas à formuler un mot. Alors elle lui envoie son verre alcoolisé dans le visage et repart énervée. Mais la soirée n’est pas finit. Il ne lui court pas après, Harry. Il ne court jamais après les créatures féminines, son orgueil est bien trop important. Pourtant, il la voit partir et son cœur accélère à chaque regard, et meurt à chaque départ. Harry a passé des mois dans ce club, chaque soir, à chercher cette dulcinée, cette petite blonde aux cheveux courts qui a fait battre son cœur d’Appolon.
« Elza, voici notre nouvel ingénieur, je vous pries de lui faire visiter les lieux, il se prénomme Harry. » On tend à la femme, un petit bout de papier avant que l’inconnu aux cheveux de jais n’entrent dans la pièce. Son cœur manque un battement quand il voit en face d’elle, la belle blonde qui tient à papier et l’appel par son prénom. D’une insolente élégance, il s’approche d’elle et lui baise la main avec ce petit regard taquin déjà exaspérant. Et si la balade se veut froide, tendu et noir, tout n’est qu’un détail de couleur pour l’enfant adulte. Il ne fait pas attention aux pièces. Aux lieux. Pour lui, ce qui est important, c’est la couleur de ses cheveux. La façon qu’elle a de bouger ses lèvres quand elle prononce un mot. Son sourire qui est parfois ironique et parfois réel. La nostalgie dans son regard et l’envie dans ses reins. Tout être extérieur n’est qu’un détail à la bulle qu’il vient de se créer. Il détaille ses lèvres de perles et son regard qui le transperce à chaque fois. Qu’elle est belle, sa déesse. Jolie petite nymphette qui vient de briser son cœur en l’amenant dans son laboratoire pour lui dire de rester ici. Pauvre petite fille, pauvre petit garçon.
« Harry, fais attention, tu vas tout faire sauter ! » La voix de la blonde résonne dans la tête du jeune homme qui rigole encore plus. Si la belle blonde n’avait pas sa langue dans sa poche, il avait bien vu les regards de son aîné à son égard. D’un petit rire malin, il commence doucement à l’embêter de nouveau avant d’entendre des bruits de talon contre le sol. Ces bruits qu’il connait si bien depuis une année maintenant. Si la belle secrétaire au nom d’Elza vient au rapport, Harry ressent le regard pesant de son frère qui le pousse à agir. Avec une longue inspiration et un petit passage de main dans sa chevelure noire, il s’approche de la sublime femme qui retournait travailler. « Elza, dis-moi, tu acceptes un petit dîner ce soir ? Toi et moi, rien que nous deux. » La femme qui réfléchit avec un air sérieux fronce les sourcils, un petit tic qu’il remarque à chaque fois. « Passe chez moi à vingt heures, ne sois pas en retard sinon je mangerais ma pizza rien que pour moi. » La fourberie de l’homme marche et s’il tente d’être désintéressé, sa tête est en feu. Enfin, Elza sera sienne le temps d’une soirée.
« Alors Harry, tu m’en dis plus sur toi. Qui es-tu vraiment ? » Le garçon sourit, installé sur un petit canapé en face de la belle nymphe endiablé. Il rigole bêtement, pourquoi donc elle s’intéresse à lui ? Si l’alcool lui fait perdre la raison, l’amour lui fait perdre la tête. Il se lève et délicatement, il détache les boutons de sa chemise. La jeune femme le regarde avec une offense dans le regard. « Harry, si tu es venu pour ça, pars. » Arrivé au dernier bouton, il l’enlève doucement et le regarde avec une petite faiblesse dans le regard avant de poser délicatement le vêtement sur le canapé derrière lui. Il inspire doucement et se retourne, dévoilant son dos musclé. Musclé et fatigué, marqué de coup plus dur les uns que les autres. « Elle n’est pas si belle, ta réalité hein. » Il soupire lâchement en fixant l’étagère en face de lui. « À quoi tu t’attendais ? À un petit merdeux comme moi ? Ne dis rien, je préfère le silence à la pitié. » La main délicate de la femme touche son dos et caresse du bout de ses doigts de fées, les blessures de l’enfant. « Tu es magnifique. » Qu’elle murmure l’insouciante. Il n’attend pas pour se retourner et la fixer dans les yeux avant de la tenir par la taille et de l’embrasser avec le plus pur des amours. Et ses baisers coulent le long de sa peau comme un enchantement si bien que le temps s’arrête. Il sent sa main caresser son corps si fort et son envie devenir plus grande. Le monstre heureux peut enfin avaler la petite femme sans soucis. Elle est sienne pour un long moment.
« Harry, tu es rentré tard ce soir. » La voix de la femme résonne dans le petit appartement et s’il dépose ses affaires avec un petit soupir. « Qu’est-ce qu’il y a encore, ma sublime fiancée ? » Qu’il dit avec un petit regard en observant la main gauche d’Elza, l’alliance qui brille. « Tais-toi crétin. » Délicatement, elle attrape sa main et la dépose sur son ventre avec une petite larme sur son visage. Si l’enfant ne comprend pas, pas pour le moment, son cœur s’agite et sa tête explose. Il comprend enfin et son cœur brûle d’une joie immense. Son petit être, son entraille qui brûle dans le ventre de l’amour de sa vie. « C’est une blague ? » Qu’il dit, choqué et heureux. Mais la mine si heureuse de sa femme, il n’a pas besoin de réponse, il attrape déjà sa fiancée dans ses bras et l’enlace si fort avant de la déposer au sol. Doucement, il carasse son ventre avec un petit sourire avant d’embrasser celui-ci. « Coucou petit bonhomme, tu sais que papa t’aime déjà, même si tu n’as pas de couleur ni d’yeux, t’es le plus beau du monde. »
« Harry, puis-je vous parler ? » La voix de son patron résonne dans sa tête et l’enfant s’arrête de travailler. Il observe son patron avec sérieux qui prend un ton grave. « Vous savez, nous avons fait passé des tests à chaque membre pour savoir s’ils étaient contaminés et … » « HARRY ! » La voix hurle derrière lui et il se retourne pour voir le visage de sa femme avec son si jolie ventre rond en larmes qui court dans ses bras. « Je t’aime Harry, je t’aime. » Qu’elle murmure entre des sanglots avant de voir deux hommes la saisir par les bras. « Elza ! Mais que se passe-t-il ?! » « Votre femme, elle est infectée et a infecté l’enfant qu’elle porte. » Le regard si joyeux du futur père se transforme en un vide dérisoire, une peine qu’il ne peut contrôler. « Non, c’est une blague, relâchez la, elle n’a rien, c’est impossible ! » « Vous n’êtes pas infecté, continuez votre travail et laissez votre femme partir. » « Non, Elza ! » Il hurle à s’en brûler les veines et s’il tente de l’approcher, il se sent rapidement repoussé par les hommes armés. « Elle n’a rien. » Les larmes coulent sur son visage et s’il tente d’approcher sa femme, il sent sa vie défiler entre ses mains. Mais il n’est pas assez courageux le gamin, pas assez. Pas assez pour approcher et la sauver. Alors il hurle de tristesse en la regardant partir. Soudain, elle tente de s’échapper, en donnant des coups. Elle n’a pas le temps de faire trois pas que le bruit de la balle retentit et le corps de la femme tombe contre le sol. Il n’est plus capable de rien, il n’est plus capable de la voir, elle. Il court et s’approche du corps décédé, pourtant son cœur ne ressent qu’un vide. Elle est si belle, même dans la mort. La main sur son joli petit ventre rond avec Edward qui devait naître le mois prochain. Edward qui n’a pas eu le temps de vivre et qui a pourtant pris le cœur de son père.
Il court, dans le désert. Il hurle son nom. Edward. Il ne s’arrête pas d’hurler. Avec Elza, il a passé la nuit à réfléchir avant de se contaminer à son tour pour rejoindre la terre brûlée. Un suicide chronique, qui prend son temps mais le tue de l’intérieur. Il n’a pas eu le courage de les arrêter, eux. Alors il laisse le temps se faner et sa barbe poussée. Il se sent mal respiré, souffrir et la succube n’arrête pas de danser. Et puis devant lui apparaît un petit berceau vide. Taché de rouge, mais vide. Le berceau qu’aurait eu Edward. Qu’elle âge aurait-il aujourd’hui ? 6 mois ? 1 an ? Il ne sait pas, il ne plus. Le pistolet dans sa main, il ne sait plus que faire. Peut –il le faire ? Enfin, avoir le courage ? Il n’est autre que l’ignoble monstre comme son père. Il n’a pas été capable de protéger Edward et Elza. Il n’est que l’ombre d’une ombre. Et Edward aurait été une ombre de plus. Après tout, si la vie ne se résume qu’à une ombre, pourquoi courir après la vie ? « Je t’aime. » Qu’il prononce sur le ton d’un amour. Et en serrant la peluche dans le berceau, il appuie sur la détente. Pour qu’un mauvais rêve se termine, il y met fin pour enfin tenter de chercher le bonheur. Qui sait si son âme a trouvé la paix, mais tout le monde se souvient du pauvre petit Harry, misérable gamin battu, formidable amant et père à devenir. Un homme qui avait un bel avenir avec un passé taché qui a embrumé ses pensées. Un enfant qui n’a pas fini de courir après le temps.
✱ suite à une erreur en laboratoire de louise, il a été contaminé par la braise et a été renvoyé par le WICKED. pourtant, il traîne toujours avec elle, parce qu'ils ont tout perdu, et qu'ils n'ont personne d'autre. ✱ ils veulent rejoindre la ville des fondus, dans la terre brûlée. RELATIONS louise moreau ›- tu vas nous faire marcher encore longtemps dans ton putain de désert ? tu crois qu'on va aller où, comme ça ? ça me fait chier de marcher, j'ai soif, j'en ai marre de te suivre sans que tu veuilles rien m'expliquer ! mais réponds-moi, putain ! - ta gueule, louise. ta. gueule. arrête de te plaindre, parce que tu l'as peut-être oublié, mais la seule raison pour laquelle on est dans ce merdier, c'est toi ! il l'avait attrapé par les épaules, et l'avait secouée brusquement. elle avait attrapé ses poignets pour se libérer, il avait serré ses épaules encore plus fort. elle avait essayé un instant de se débattre, mais il était toujours plus fort. elle avait ri. - regarde-nous, batman, sauveur des fondus en détresse. deux tarés qui se battent dans le désert. crois-moi, quand je serai vraiment folle, tu seras le premier que j'égorgerai avec mes dents. promis.il avait lâché ses épaules en soupirant. c'était lui, l'adulte ici. c'était lui l'humain. il s'était souvent demandé pourquoi il trainait louise avec lui. louise, qui avait causé sa perte. louise, qui se transformait en animal beaucoup plus vite que lui. la réponse était simple : il n'avait personne d'autre. louise non plus. ils étaient juste tous les deux, en train de glisser doucement dans la folie, rongés par la braise. il la détestait, pour l'avoir entraîné dans sa chute. pourtant, il ne pouvait pas se détacher d'elle, comme elle ne pouvait pas se détacher de lui. ils avaient tout perdu. tout. ils n'avaient plus qu'eux, comme bouée de sauvetage. - j'suis folle, hein ? il avait haussé les épaules. il me reste plus très longtemps, je pense. combien de temps, à ton avis ?- je ne sais pas. la braise progresse vite, dans ton cerveau, on dirait. il lui offrit un sourire désolé. tout ça, elle le savait. - j'veux que tu me fasse une promesse. quand... quand il n'y aura plus rien d'humain en moi, je veux que tu me tues. sans hésitation. elle avait son sourire résigné. ils savaient bien, par cœur, toutes les étapes qu'ils traverseront avant de sombrer définitivement dans la folie. la mort valait peut-être mieux. sans doute. - c'est promis. elle avait rit à nouveau. fort. à gorge déployée. elle, la tarée. lui, toujours là, perplexe, pour la soutenir. pour l'aider à se relever jusqu'à la fin. pour lui coller une balle dans la tête quand elle ne serait plus elle-même. son rire résonnait dans le désert. |
| | | Louise Moreau VIRUS VC321xb47 : STAGE 2 Messages : 559 Avatar : nat dormer. Pseudo : crying lightning. (jade) Copyright : astoria (avatar), tumblr (gifs). Occupation : errer dans son monde sans espoir. se maintenir en vie pour quelques jours de plus. parler à ses mirages. Inventaire : un gourde d'eau à moitié vide. ✱ une trousse de premiers secours pour soigner son orgueil en miettes. ✱ un vieux couteau bizarre, ramassé dans le désert, pour trancher la gorge des fondus trop insistants, ou peut-être même de theodore.
| (#) Sujet: Re: (m/pris) dane dehaan ✱ arm your eyes Sam 10 Jan - 18:30 | |
| les attentes wicked is good- Pseudo : le pseudo est totalement libre, faites-vous plaisir, mais sachez que je préférerais un prénom plutôt classique, veillez juste à ne pas partir dans le n'importe quoi - Avatar : il a de beaux yeux dane, non ? autrement, vous êtes libre de changer, j'avais personnellement imaginé sam claflin dans le rôle, aussi et si vous préférez jouer un personnage plus âgé, j'avais aussi envisagé lee pace - Histoire : j'aimerais que vous respectiez juste les éléments indiqués, vous êtes libre d'ajouter des choses, pour le reste - Lien : il n'est pas négociable il est plutôt kewl, non ? - Présence/RP : je ne suis pas très exigeante à ce niveau là, étant moi même assez occupée mais évidemment, si vous prenez ce scénario, je compte sur vous pour être actif sur le forum, passer nous faire un petit coucou dans le flood, tout ça pour ce qui est du rp, un post par semaine me suffit, et pour ce qui est du nombre de ligne, sachez que je privilégie toujours la qualité à la quantité merci d'avoir lu jusque là, et sachez que si vous choisissez de jouer theodore, j'vous ferai des bisous sur les fesses |
| | | Theodore Kidd VIRUS VC321xb47 : STAGE 1 Messages : 324 Avatar : dane dehaan Pseudo : aeternalis//anna Copyright : swan (av), unkw tumblr (gifs), alaska (sign) Occupation : fondu errant entre deux dunes de sable Inventaire : une louise un peu plus cinglée chaque jour, un trou dans sa poche gauche et dans son coeur, un sachet de bliss et un revolver pas très maniable, chargé de cinq balles
| (#) Sujet: Re: (m/pris) dane dehaan ✱ arm your eyes Sam 28 Mar - 15:33 | |
| coucou toi (sale contaminatrice ) |
| | | Sally Ljungström SUBJECT B5 : THE UTOPIST Messages : 139 Avatar : elle fanning. Pseudo : crying lightning. (jade) Copyright : wildworld. (avatar) Occupation : maton des medjacks, douce et attentionnée à l'égard de ses chères blocardes. elle fait aussi des petits travaux de couture pour les blocardes, pendant son temps libre. Inventaire : rien d'autre que ce que contient l'infirmerie, bien qu'en soit, tout cela appartienne à tout le monde.
| (#) Sujet: Re: (m/pris) dane dehaan ✱ arm your eyes Sam 28 Mar - 17:35 | |
| |
| | | | (#) Sujet: Re: (m/pris) dane dehaan ✱ arm your eyes | |
| |
| | | | (m/pris) dane dehaan ✱ arm your eyes | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |