Connie Fergusson wicked is musical Messages : 377 Avatar : jenna l. coleman Pseudo : fairy sissi (cynthia) Copyright : honeycomb Occupation : Entrain de chercher activement un remède à cette saloperie grâce à ses compétences de neurochirurgienne Inventaire : la photo de son mari, sa fille et elle
| (#) Sujet: (M/LIBRE) RICHARD MADDEN - love, it's not an emotion. it's a promise. Jeu 2 Avr - 22:08 | |
| prénom fergusson ft. richard madden | IDENTITY CARD.
ÂGE : 28/29 ans DATE & LIEU DE NAISSANCE : Lakewood, Colorado, jj/mm/aa ORIGINES : Américain, mais vous pouvez en rajouter si le coeur vous en dit. STADE : 1 OCCUPATION : Il est à l'hôtel des fondus à Denver, donc je ne sais pas trop. Au choix (a) GROUPE : Fondu CRÉDIT : tearsflight, tumblr |
STORYLINE POINTS SUR L'HISTOIRE. Je souhaite que l'histoire reste relativement libre. Cependant, ayant parlé de Monsieur Fergusson dans ma présentation, il y a quelques points à respecter. + Son enfance, toussa toussa, sont au choix. Comment il est arrivé à Denver pendant son enfance, sa croissance, son métier avant d'être atteint par la Braise. + Il a rencontré Connie au supermarché. Il l'a aidé à attraper une boîte de conserve de flageolets puis l'a accompagnée dans tout la magasin pour aider la brunette et ça était le coup de foudre. + Ils se sont mariés, bien évidemment. Je pense qu'ils devaient avoir 24/25 ans et dans la foulée, hop, ils ont une fille qu'ils ont appelée Olivia. + Olivia a été atteinte par la Braise et est morte de suite de la maladie à l'âge d'1 ans et demi. Ca a été un véritable drame pour le couple mais ça ne les a pas éloigné. Ils ont été très soudé pendant cette épreuve. C'était il y 6/7 mois. + Pour son métier, il n'en parlait pas beaucoup à sa femme. Elle ne connaissait pas réellement ses activités, alors je vous laisse vraiment ça au choix. Il est parti 1 semaine en dehors de Denver, récemment, et c'est pendant cette période qu'il a attrapé la braise à cause d'un(e) fondu(e) . Quand il est revenu, il s'est fait diagnostiqué au poste de dépistage de l'entrée de la ville et a été emmené à l’hôtel des fondus après une période de quarantaine. la manière dont il a vécu tout ça, est à votre choix. Je le vois comme étant quelqu'un qui sourit tout le temps , surtout pour éviter d'inquiéter sa femme. Donc, au choix. ^^ + Sa femme travaille désormais au WICKED pour aider à trouver le remède qui le soignera. Avant elle travaillait à l'hopital de Denver. L'avis de Monsieur sur le WICKED peut être totalement différent de celui de sa femme qui est pro-wicked. Mais même si il est pro-bras droit, je ne pense pas qu'il puisse reprocher à sa femme son choix de rejoindre le WICKED pour le sauver. Il aurait très certainement fait la même chose, malgré son avis personnel si les rôles avaient été inversés. Pour le caractère, il reste libre mise à part le fait, comme je le disais plus haut, il est très compréhensif et un peu secret, toujours à sourire pour éviter d'inquiéter les personnes qui lui sont chères. Je vous mets en spoiler les parties de mon histoire qui parle de notre fondu préféré : - Spoiler:
Le plus beau jour de sa vie. Vêtue de sa grande robe de mariée aussi blanche que l'innocence, Connie attendait patiemment devant le grand bâtiment qui célébrait les mariages à Denver, accompagnée de son père, n'attendant qu'une seule chose, rejoindre son futur mari à l'autel. Les demoiselles d'honneur étaient déjà préparées à tenir sa traîne jusqu'à la destination qui scellerait sa vie à la famille Fergusson. Dentelle et tradition étaient de mise et la future mariée ne s'était jamais sentie aussi excitée de toute sa vie. Si Denver avait signé un nouveau départ, ce mariage en signait également un nouveau. Elle allait avoir sa propre famille avec l'homme qu'elle aimait et pour elle, il n'y avait pas plus fabuleux que cet évènement.
Quand les portes s'ouvrirent, Connie lança un sourire ému à son père et d'un pas uni, ils s'élancèrent dans l'allée au rythme de la fameuse marche nuptiale. Les regards étaient tournés vers elle. Pour une fois dans sa vie, elle était la reine. Sur ses talons hauts, elle ne quitta pas un seul instant les yeux de son compagnon, radieux dans son costume de cérémonie. Ils étaient son océan de bonheur, son univers. Son sourire éclatant répondait au délicieux sourire de son amant qui la regardait avancer tel un ange tombé du ciel. Sa robe se balançait au rythme de ses pas et plus Connie avançait, plus son émotion se faisait palpable, se remémorant sa rencontre avec celui qui avait changé sa vie.
Leur rencontre avait été des plus banale, mais le rencontrer était de loin la chose la plus merveilleuse qu'il lui était arrivé. Il était seulement un brun inconnu l'aidant à attraper la boîte de conserve qu'elle n'arrivait pas à attraper, cet inconnu dont le regard vous pétrifie sur place face à l'intensité de ce bleu. Au final, son désormais amant l'avait accompagné pendant ses courses, se proposant de l'aider à attraper ces fichues boîtes de conserve trop hautes que Connie n'arrivait pas à attraper.
Une larme coula sur sa joue alors que la mariée arrivait enfin à l'autel. Sans cette boîte de conserve, jamais elle n'aurait eu l'occasion de rencontrer son fiancé. Elle se devait de vouer un culte aux boîtes de flageolets désormais. Fébrile comme jamais, Connie serra dans ses bras son père avant se rejoindre son futur mari, prête à échanger ses vœux, sans oublier de lui glisser à quel point il était sexy dans ce costard. Elle allait devenir Madame Fergusson. Elle était un oiseau qui quittait le nid. Elle prenait son envol.
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« Je suis sincèrement désolé Monsieur et Madame Fergusson mais... » Le médecin se stoppa. Ses yeux désolés n'annonçaient rien de bon. Le couple marié attendait patiemment la suite de l'annonce du médecin en charge de leur petite Olivia, âgée à peine de dix-huit mois. Elle avait la Braise et contrairement aux autres fondus, on avait installé la petite fille dans une chambre de l'infirmerie de l'hôtel des fondus, à l'abri de tous. Sa place n'était pas avec les autres fondus. Elle avait à peine un an et demi et la vie était déjà injuste avec elle. « Mais votre fille a atteint bien trop vite le stade terminal et on a réellement tout fait pour préserver son intégrité mentale le plus longtemps possible. Le fait est que son système nerveux n'était pas totalement mature, le virus s'est donc propagé à une vitesse phénoménale. » Mensonges. Une fois que vous était diagnostiqué porteur de la maladie, vous retrouviez enfermé dans cet hôtel insalubre, mourant, sans la moindre aide thérapeutique pour soulager vos souffrances. Était ? Le cœur de Connie se brisa lentement, d'une lenteur extrême et cruelle, de ces lenteurs qui vous rendent dingues. Et elle n'était visiblement pas la seule. Son mari s'agitait à ses côtés, elle le sentait. Bien sûr, la brunette savait que cela voulait dire. Elle était chirurgienne. Mais au fond d'elle, restait cet infime espoir d'avoir mal interprété les propos du docteur qui s'occupait de sa petite Olivia. « Arrêtez de tourner autour du pot et dîtes nous la vérité. Ma femme et moi savons déjà tout ça, alors, dîtes nous ce qu'il se passe ! » La brune attrapa la main de son mari, attendant avec crainte la réponse qu'elle connaissait déjà. Et le verdict tomba. Une corde lâcha dans son cœur meurtri et un sanglot s'échappa de ses lèvres. Morte. Son bébé avait été emporté par la maladie. Elle sentit la main de son mari se contracter autour de la sienne et les sanglots se furent plus gros. Plus douloureux, plus déchirants. Les bras sécurisants de son mari lui entourèrent sa taille fragile et leurs pleurs se mêlèrent avec un rythme déconcertant et tragique. Le monde fut plus sombre en un claquement de doigts. Leur monde fut assombri par ce funeste chagrin, le ciel pleurant avec eux.
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Connie attendait patiemment son mari à la frontière entre Denver et l'extérieur de la ville, se trouvant un peu avant le poste de prévention et de sécurité qui contrôlait les allées et venus des entrants, les dépistant. Son mari était parti depuis une semaine en dehors de la ville pour son travail qu'elle ne connaissait que très peu. Mais cela ne la dérangeait pas. Chacun avait droit à son petit secret professionnel. Elle-même devait suivre le secret médical. De cette manière, il était parti pour son boulot et ne devait plus tarder. L'examen d'entrée n'était plus qu'un examen de routine et elle savait qu'en moins de temps qu'il n'en faudrait, il aurait droit à sa place à côté d'elle. Quand elle l'aperçut au loin, Connie se mit à sourire de ce sourire léger disant qu'elle était ravie de le savoir à la maison. Il s'avança patiemment en direction du poste de dépistage, offrant des clins d'œil à sa femme qui l'attendait patiemment. Cet examen n'était qu'une formalité. « Je suis désolé, mais vous êtes dans l'impossibilité de passer. » Le sourire qu'affichait Connie mourut instantanément ne comprenant pas pourquoi son mari ne pouvait pas la rejoindre. Alors qu'elle s'apprêta à demander ce qu'il n'allait pas à l'officier qui venait de parler, celui-ci répondit à sa question comme s'il avait deviné ce qu'elle allait lui demander. « Je ne suis pas obligé de vous faire un dessin, si ? Non-immunisé. Braise. Ça devrait être facile pour vous de faire le lien. Vous allez devoir suivre mes collègues. » Son cœur se stoppa et les larmes lui montèrent aux yeux. Après sa fille, voilà que son mari allait lui aussi se faire emporter par la maladie. La vie semblait prendre du plaisir à voir sa petite famille souffrir. Se refusant de sangloter en public, la brunette lança un regard douloureux à son mari qui ne semblait pas le moins du monde, affecté par cette nouvelle. Il avait toujours ce sourire délicieux sur les lèvres, ce sourire qui le caractérisait tant. « Je t'aime Connie, n'oublie jamais ça, d'accord ? » Et alors qu'elle le regarda s'éloigner, le coeur un peu plus meurtri chaque seconde, elle se promit de tout faire pour lui trouver un remède, aussi inexistant soit-il. Je te sauverais mon amour, je te le promets.
RELATIONS connie fergusson › Sa femme, la seule et unique qui a toujours su donner de la chaleur dans sa vie. Leur rencontre fut des plus banales et pourtant c'est grâce à une boîte de conserve contenant des flageolets que leur histoire a commencé. Amoureux comme au premier jour, ils ont rapidement franchi les étapes de toutes relations sérieuses et ont fondé leur petite famille. Malheureusement, la vie semble se moquer du bonheur éphémère qu'elle leur avait accordé. Après leur avoir enlevés leur petite fille, voilà qu'elle tente de prendre à son tour le mari de Connie, en lui donnant la pire maladie du monde. Bien qu'ils eurent réussi à se relever de la terrible épreuve, en y ressortant plus que unis, rien n'est moins sûr pour cette douloureuse épreuve qui les attend. L'un malade, ne courant qu'à sa propre perte. L'autre faisant de la maladie de son mari, son combat de tous les jours. Les jours qui arrivent, s'annoncent durs mais il est hors de question pour Connie d'abandonner son mari dans cette maladie qui le ronge un peu plus chaque jour. Ils se sont promis d'être là pour le meilleur comme pour le pire, jusqu'à la mort les sépare. Et bien, les tourtereaux, le pire sonne à votre porte. |
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Connie Fergusson wicked is musical Messages : 377 Avatar : jenna l. coleman Pseudo : fairy sissi (cynthia) Copyright : honeycomb Occupation : Entrain de chercher activement un remède à cette saloperie grâce à ses compétences de neurochirurgienne Inventaire : la photo de son mari, sa fille et elle
| (#) Sujet: Re: (M/LIBRE) RICHARD MADDEN - love, it's not an emotion. it's a promise. Jeu 2 Avr - 22:08 | |
| les attentes wicked is goodAloha Tout d'abord merci d'en être arrivé jusque là, je suis flattée Voilà la partie la plus chiante de tout scénario, alors je promets d'être la plus brève possible. . - Pseudo : Le nom n'est évidemment pas négociable. (merci captain obvious ) Le prénom est au choix. J'aime beaucoup les prénoms qui sortent un peu de l'ordinaire, qui change du James habituel. Faites vous plaisir et surprenez moi ! - Avatar : Richard Madden est négociable. Même si Jenna/Richard sont juste trop canons ensemble. Bon après, si vous aimez pas Richard, je peux pas comprendre, donc proposez moi vos bruns. Mais je me réserve un droit de veto. Après Richard, je pensais à Sebastian Stan l'amour de ma vie Donc voilà. Loin de moi l'idée de vous influencer Y'a aussi Samuel Anderson qui n'a strictement rien n'avoir avec les deux précédents juste parce que OSWINK BABY - Histoire : Tout ce qui n'est pas précisé est à votre guise. - Lien(s) : Lien non négociable vous vous en doutez. Ils s'aiment de toute leur âme. Avant c'est le pays des bisounours, plus maintenant. J'ai hate de voir ce que ça va donner en rp. Avec un Richard malade qui va devenir de plus en plus agressif, ce qu'il n'est pas à la base, en paradoxe total avec ses sentiments pour Connie qu'il ne souhaite pas blesser et une Connie persuadée qu'elle finira par trouver un traitement. - Présence/RP : Je demande pas un truc de fou. Juste le minimum requis par le forum, moi-même étant très surchargée IRL. Pour le rp, je préfère les rps qui sont de qualité et qui ne font que les 15 lignes demandées par le forum avec une orthographe correcte (s'il vous plait pas de sa à la place de ça x.x) aux rps de mauvaises qualités, faisant 6000 mots et avec une syntaxe à s'en brûler les yeux. Pour vous donner un ordre d'idée, mes rps tournent généralement entre 700 mots et 900 mots. Il est rare que j'en fasse plus, mais c'est possible. Voilà c'est tout ce que j'avais à dire, on fera des bbs mi-fondu mi-pro-wicked à bientôôôôt |
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