Tic tac.
L'horloge tique, le temps claque. 
Faut savoir planter le décor, dresser les murs robustes d'une histoire cohérente, accrocher les tableaux d'une intrigue solide puis balayer le plancher d'un coup plein de grâce littéraire, le tout enrobé d'un jet de lumière pompeux, celui qui accroche, celui qui pousse le lecteur à tourner la page avec fébrilité, affamé de connaître la suite d'une histoire passionnante et riche en rebondissement. Autant m'excuser d'avance, je n'en suis tristement pas capable. 
Tic tac. 
L’œil pique et l'âme claque. 
La vie de Francesca est à la fois simple mais confuse, trop instable pour tomber dans le clicher de la femme-à-l'esprit-torturé mais révélatrice de ces symptômes.
Née en bonne santé, Francesca passa une enfance normale – si par normalité on comprend des week-end militaires et un régime alimentaire strict dès l'âge de six ans. En effet, son paternel était un homme d'arme, un qui partage sa vie de famille et sa vie professionnelle en un tout inséparable, insérant dans l'esprit juvénile et encore innocent de sa progéniture une droiture douloureuse et inconditionnelle, premier stigmate d'une personnalité choquante. Le père de Francesca était son tout, son modèle à travers un monde qui lui semblait bien hostile. Il fallait toujours faire attention, savoir se défendre, savoir attaquer mais jamais et en aucun cas reculer. Des notions qui demeurent les pionniers de son profond être. Plus généralement, la petite Fran'  grandit dans une famille où l'amour était présent mais étrangement distant, comme un travail dont la dure labeur était source de réconfort et de mérite.
Cependant, malgré une éducation serrée au vice, notre jeune héroïne développa un tempérament volcanique et difficile à contrôler, notamment à l'âge où les hormones transforment la plus docile jeune demoiselle en la plus farouche des délinquantes. Son adolescence fût donc une succession d'acte de rébellion, hurlement protestataire d'une discipline familiale devenue étouffante. Après avoir entaché son casier judiciaire à maintes reprises, s'être dépravé au nom de liberté d'exister, elle fût chasser du domicile familiale à l'âge de dix-sept ans. « La famille, plus que ses membres, est un nom qu'on ne salit pas », dit son père avant de fermer la porte pour la dernière fois.
A la rue, elle se réfugia chez sa tante qui décéda quelques années plus tard.
Son passage à l'âge adulte fut sa pire mascarade.
Quand à son caractère en acier, il se mua en un sagesse bien étrange ; les mots claquent à la place des portes, un sourire fait plus mal qu'un coup de poing et la rancœur prend les racines de l'âge.
Ainsi, pour effacer un passé difficile, Francesca abandonna son véritable nom de famille, et devint Belladonna. Ce choix fût également son ultime acte de rébellion (d'attention) envers un père qu'elle aimait tant.
Suite à quoi, après des études étonnamment brillantes, elle rentra dans les ordres de la science, passionnée par l'organisme humain et devint rapidement connue dans le milieu avec ses recherches et théories audacieuses. Ainsi, lorsque la braise tomba sans prévenir, consumant le monde dans la fournaise d'une fièvre sans nom, la jeune femme s'était contentée d'observer, presque fascinée. Ce n'est pas une personne complètement détachée du malheur d'autrui, elle en est juste affectée différemment. La peine la console et le bonheur la rend mal à l'aise. Elle voit le verre à moitié vide car personne ne pense à le remplir.
Beaucoup de gens  perdirent la vie suite au virus et beaucoup de gens y perdirent un proche ; Francesca ne fût pas une exception à la règle : ami, amant et père. C'est quand même bien sadique de compter vos proches comme une partie de domino. Si les drames en répétitions effleurent son être sans vraiment l'affecter – car déjà son âme était scellé et durement atteignable, la perte de son paternel fût l'effet une bombe émotionnelle. Elle ne lui avait jamais reparlé mais comme une enfant, elle l'avait toujours cru invincible, cet homme fort et dur, implacable. De le savoir tomber sous le virus, de voir cette maladie détruire la valeur la plus sure et solide de son existence, la plongea encore plus profondément dans son monde décalé.
C'est peu de temps après qu'elle partit grossir les rangs du Wicked.

punaise de punaise   je m'y attendais, mais gosh, qu'est-ce qu'elle est badass ! jusqu'au bout des ongles en plus !   j'ai adoré "une dinde reste une dinde" enfin bref, ta petite francesca va faire un carton au wicked, j'ai vraiment hâte de la voir évoluer !  
Te voilà enfin validé(e) ! Toutes mes félicitations petit membrounet. Donc, un message de validation ne sert pas juste à dire de la merde , elle sert aussi à te guider pour tes premiers pas sur le forum en tant que membre "officiel" (ce swag que t'aaas   ).
Commençons par le début. Tu vas pouvoir tout de suite aller recenser ton métier juste ici, pour ne pas que d'autres personnes prennent ton poste, ainsi que ton logement par là, pour ne pas dormir sous un pont. Secondos (ben ouais, ich hablo spanish ), se trouver des liens entre personnages peut être assez fort intéressant pour commencer des rps, tu peux cliquer juste ici si ça t'intéresse. Durant ton long séjour ici (il sera long, PROMET-LE   ), tu pourras ramasser des points. Je t'en dis pas plus, tu peux aller lire ici toutes les infos. Par la suite, si tu n'as pas d'amis avec qui rp, tu peux entamer une dépression toujours faire une demande de rp à ce moment-là, juste ici. Pour les habitants/bras droit/wicked, c'est OBLIGATOIRE. Veuillez vous rendre ici s'il vous plait : clique ici, c'est pour connaître ton sort face à la Brase   .
Pour finir, vu qu'on est assez cinglées en fait, il y a toujours le flood où tu peux participer. On aime flooder. C'est notre vie. flood juste ici. L'équipe des tarées de TMR te souhaite encore un beau bienvenue remplis de bisoux.