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| Phoebe Lea Parker - « Il n'y a pas de secrets mieux gardés que ceux que l'on devine. » | |
| Auteur | Message |
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| (#) Sujet: Phoebe Lea Parker - « Il n'y a pas de secrets mieux gardés que ceux que l'on devine. » Lun 20 Avr - 22:50 | |
| Phoebe Lea Parker ft. lea michele✱ Que vous dire ? Si j'ai un jour été une petite fille facilement en proie à ses émotions, je ne le suis très certainement plus depuis l'âge de treize ans. Ou du moins, c'est ce qui semble être, et ce qui est à la fois. Pour tout vous avouer, mon caractère est composé de contraires et d'ambiguïtés. J'ai toujours été, et je suis encore, quelqu'un d'extrêmement ambitieux, ambition qui n'a prit que plus d'ampleur au fil des années, car c'est aujourd'hui la seule chose qui me reste. Je suis une jeune femme déterminée, et les événements m'ont poussés à cacher mes émotions. Je ne suis pas comme les autres. Plus maintenant. Lorsque l'on me voit, c'est à un masque de dureté et de froideur que l'on se heurte. Dû à cela, certains me craignent, d'autres me prennent de haut, d'autres encore cherchent à me connaitre, à savoir ce que je cache, qui est la véritable Phoebe. En réalité, je ne suis pas si dénuée de toute émotions, loin de là. Je crois même que j'en ressens bien plus que n'importe qui d'autre : pour preuve, je ne me suis jamais remise de la mort de mes parents. Avec le temps, j'aurais dû être apte à passer à autre chose, et pourtant aujourd'hui encore je ressens la douleur aussi durement que si cela venait tout juste de se produire. Je ne suis pas sans émotions, et pourtant lorsque je suis énervée, je peux devenir plus cruelle qu'un tueur en série, et rien, pas même les cris ou les supplications ne peuvent me donner pitié. Je vous rassure, je n'arrive à ce stade de fureur que lorsque quelqu'un le mérite réellement. Je peux également me montrer sans coeur lorsque je suis énervée à un stade moins fort que celui que je viens de vous décrire, mais c'est moins pire tout de même. Je sais ce que vous pensez. Que je suis folle, juste bonne à interner. Et si ce n'était pas le cas ? Tout le monde pense cela, et pourtant. Je ne suis pas si différente de vous. J'ai juste choisi de ne répondre qu'à mes propres règles. Je suis une jeune femme forte et indépendante, et je ne crains plus de mourir depuis la perte de mes parents. Au contraire, je traque la mort, et je l'affronte lorsque l'opportunité m'en est donné. Je n'ai plus peur de rien ni de personne dorénavant. Et c'est ce qui me donne du courage, c'est ce qui me permet d'affronter toutes les situations, les pires comme les meilleures. Peu importe si je risque ma vie, elle ne vaut plus rien. Pas plus pour moi que pour les gens qui me connaissent. Morte, je ne manquerais à personne, les gens danseraient sur ma tombe et déboucheraient une bonne bouteille de champagne. Et moi... moi je pourrais enfin retrouver mes parents. Tout le monde y trouverait son compte, vous ne pensez pas ? Non je ne suis pas folle. J'aime à être mystérieuse, et je fais tout pour être aussi libre que possible. Mais folle... ça non. Des fous, des vrais, vous en croisez tous les jours, sans même le savoir. Un voisin, un ami, un collègue. Parfois même un parent. Qui sait quelle est leur vie ? Et pourtant vous pensez les connaitre, que ce soit leur caractère, leurs goûts, leur style vestimentaire, leur manière d'agir, de faire. Mais une personne telle que moi, qui cache qui elle est réellement, est de suite suspecte à vos yeux. Il vous faut à tout prix savoir ce qui se cache. Seulement voilà, je mens aussi bien que je respire, il vous sera impossible de savoir si je mens ou pas. Tout le monde a un tic, un petit quelque chose qui vous trahis quand vous mentez. Moi je peux vous regarder droit dans les yeux, et vous débiter un mensonge si sincère que vous ne pourrez que vous prendre au piège. Sans compter que... mes secrets sont bien gardés. Car à moins d'avoir la faculté de lire dans les pensées, rien ne vous permettra jamais de découvrir la vérité. Que dire d'autre ? Je prétend constamment aller bien, même si c'est totalement faux. Je pourrais encore saigner de partout que je serais capable de vous dire que tout va bien, que je n'ai pas besoin d'aide. Car oui, je déteste qu'on tente de m'aider. Et pas parce que je prends cela pour de la pitié, ça non. Simplement parce que se faire aider de quelqu'un, c'est être dépendant de cette personne. Or ça... je le refuse. Je suis libre. Rien ni personne ne pourra changer qui je suis, et m'ôter cette liberté pour laquelle je me bat. Je suis également incapable de dire " je t'aime " à quelqu'un. Peut-être par... peur. Je ne sais pas au fond. Ce sont les derniers mots que j'ai dis à ma mère avant qu'elle ne meure. Je lui ai dis ces trois petits mots, et une seconde plus tard elle rendait son dernier souffle. Alors peut-être que j'ai peur de perdre cette personne, tout comme j'avais perdu ma mère, si je les prononce. Ou peut-être est-ce tout simplement parce que cela me rappelle de manière encore plus forte ce moment. Aussi, lorsque quelqu'un me dit qu'il m'aime, je ne peux que répondre " moi aussi " ou " c'est réciproque ". Heureusement, je n'ai pas tant de personne que cela qui me disent qu'ils m'aiment, je pourrais même dire qu'il n'y a personne. Et le pire de l'affaire, c'est que personne ne s'en rend compte. Marrant non ? Tant qu'on est dans ce registre, je suis incapable de trouver les mots qu'il faut pour venir en aide à quelqu'un. Du moins je le crois. J'ai toujours la sensation que... j'empire les choses. Ou que je les formule de manière maladroite. Sans doute parce que j'ai tant l'habitude de refouler mes propres sentiments que je suis incapable d'aider les autres avec les leurs. Et pour finir, je ne peux que vous dire que je suis une battante. En gros, c'est moi. Je me doute que j'en oublie sans doute, mais vous savez quoi ? Vous verrez bien plus tard !
| IDENTITY CARD.
ÂGE : 20 ans DATE & LIEU DE NAISSANCE : 18 décembre, New York ORIGINES : Américaine OCCUPATION : Chanter... ou casser la gueule à certaines personnes... ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle STATUT : Célibataire COUVERTURE : Je chante, je fais de la scène, je poursuis ma carrière et mon rêve. Il n'est nul besoin de l'appeler couverture cependant. C'est mon travail, mon poste chez les Bras-droit n'est qu'un à côté. Car au final, peu importe à quel point vous êtes bon dans ce que vous faites, il ne faut pas se laisser consumer par son travail, ni ne faire qu'une seule et unique chose. Et ma tendance naturelle à rendre justice, MA justice, m'est plutôt bien nécessaire pour mon « autre vie ». GROUPE : Bras droit CRÉDIT : @me |
QUESTION TIME quelles sont les raisons qui vous ont poussées à rejoindre le Bras Droit ? Car j'abhorre le principe du WICKED. Vous avez sans doute déjà entendu leur devise Wicked is good ? Pire qu'une secte. Le WICKED n'a rien de bon, le WICKED veut juste rattraper ses conneries et se donne bonne conscience en disant « On ne pouvait pas faire autrement, ce n'est rien face aux millions de personnes que l'on pourra sauver. » Ce n'est rien. Ce n'est RIEN ? Je ne suis pas la plus grande fan de la race humaine, si vous me connaissez un tant soit peu, vous saurez que je n'aurais aucun scrupule à laisser crever un homme, alors que j'abattrai quiconque fera du mal à un animal. Mais il n'empêche que ce groupe de " bienfaiteurs " enlève des enfants. Les enferme dans un labyrinthe, sans aucun souvenir de leur vie passée, et s'amuse à les regarder tuer, s'entretuer, survivre, se battre pour leur vie. Tout cela pour quoi ? Pour " trouver un remède " à une abomination créée par leurs soins ? Alors oui. Parfaitement, je combat le WICKED, parce qu'ils n'ont jamais rien su faire d'autre que de détruire cette planète et ses habitants. D'ailleurs, depuis le temps qu'ils y travaillent, vous les avez vu trouver un remède vous ? Parce que moi... non. pensez-vous que le Bras Droit arrivera à détruire le WICKED ? Croyez vous que le bien triomphe réellement du mal ? Si votre réponse est oui, alors vous êtes encore plus naïf que je ne le croyais. Car le mal est le plus rusé, le plus vicieux, il ne se plie pas aux règles et c'est ainsi qu'il vainc. Et c'est ainsi que le WICKED vaincra. Non, je doute fort que les Bras-droit parviennent à mettre à terre le WICKED, mais je crois que de mon côté, chaque membre que j'aurais pu abattre sera une petite victoire. Mais ce que je voudrais vraiment ? En tenir au moins un. Ne serait-ce qu'un, lui infliger la Braise, et le laisser crever à petit feu, le laisser se sentir partir, se sentir changer. Se sentir mourir. Puis faire cela avec tous les autres. quelle est votre couverture dans la vie de tous les jours ? est-il facile de vivre deux vies sans se faire repérer ? Arrêtez de parler de couverture. Je ne suis pas " sous couverture ". Je poursuis mon rêve, qui a toujours été d'être chanteuse, aussi... dingue et décalé que cela puisse vous paraître dans ce monde un peu plus dystopique chaque jour. Mais c'est justement pour cela que je chante. Car pour environ deux minutes, toute la noirceur du monde alentour peut disparaître. Pendant environ deux minuscules minutes, on peut redécouvrir des concepts tels que l'amour, l'amitié, la douceur, le bonheur ; on peut crier sa peine, sa colère, sa douleur ; tant de choses que nous avons oublié dans un cas, auquel nous n'avons pas le temps de nous attarder dans l'autre. Ca, c'est ma vie. Et est-ce que mener une double vie est facile ? Pour le moment, oui. Je n'ai personne dans ma vie, je n'ai de compte à rendre à personne, et j'emmerde absolument tout le monde. Alors pour le moment, ce n'est ni plus ni moins ce que j'aurai fais de toute manière, même si la situation avait été différente. vos proches sont-ils au courant que vous faites partie du Bras Droit ? vous soutiennent-ils ? Je n'ai pas de proches. Ou du moins je n'en n'ait plus. Je n'ai rien de plus à vous dire. pourriez-vous attenter à des vies humaines pour cette cause ? Je l'ai déjà fait, je le fais presque chaque jour, et je recommencerai. N'oubliez pas ceci : je suis une psychopathe. Heureusement pour vous, je ne vais mutiler et torturer que ceux qui le méritent, si vous n'avez aucun vilain petit secret à cacher, vous ne craignez rien. Dans le cas inverse, je vous invite fortement à courir, aussi vite, aussi loin et aussi longtemps que vous en serez capable.
ABOUT YOU pseudo › Phoeby | Drachel prénom › Auriane âge › 18 ans région, pays › France fréquence de connexion › Autant que possible multicompte ? › Nope comment es-tu arrivé(e) sur grtr ? › Vous savez cette fille qui écrit incroyablement bien et qui s'est inscrite y'a pas longtemps ? Celle qui a un avatar dont on ne remarque que les yeux bleu ? Blame it on her xD ton avis sur le forum ? › Si je me suis inscrite, c'est que j'aime ! ^^ scénario, pv, inventé ? › Inventé ! Pho c'est ma mienne ! big up ? › Whether it's a heart attack or a heart break, the show must go on. [supprimer les groupes qui ne vous correspondent pas] - Code:
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<b><brasdroit>lea michele</brasdroit></b> › phoebe parker |
| | | | (#) Sujet: Re: Phoebe Lea Parker - « Il n'y a pas de secrets mieux gardés que ceux que l'on devine. » Lun 20 Avr - 22:51 | |
| the story that we forgot is still living inside of usJe m'appelle Phoebe Parker. Je suis née à New York, dans le Queens, lors d'une belle soirée de décembre, et j'ai grandis là bas. Depuis que je suis petite, j'ai toujours su ce que je voulais être, ce pour quoi j'étais réellement faite. Broadway. Probablement tenais-je cela de mes parents, ma mère avait une voix fabuleuse, voix qu'elle n'a jamais pu dévoiler au reste du monde, et mon père était très bon pianiste, même si ce n'était pas vraiment sa profession ( il était avocat ). Pour tout avouer, tout à commencé lorsque j'avais cinq ans et que j'ai vu pour la première fois Funny Girl, la plus célèbre comédie musicale de Barbra Streisand. A ce moment là j'ai su : je voulais être comme elle. J'étais déjà envoûtée par le pouvoir de Barbra, et c'est ce qui m'a toujours poussée à suivre mon rêve. Mais à cinq ans, personne ne peut croire une petite fille. Même moi je ne me serais probablement pas cru... J'ai demandé à prendre des cours de danse et de chant, et mes parents ont acceptés, assez heureux de voir que je m'ouvrais au monde au lieu de rester chez moi comme un oiseau apeuré. Ces heures que je passais aux cours étaient magiques ; c'était ma porte d'entrée dans le show-business. Ma prof me disait que j'étais une mini Margot Fonteyn, elle m'a apprit le pouvoir de la musique et bien que ce studio de danse était juste un endroit assez vieux et moisi, pour moi c'était le plus bel endroit sur la Terre. Les années ont passées et j'ai continué la danse classique, ainsi que le chant évidemment. Mon amour pour Barbra et son talent grandissait un peu plus, elle était devenue mon idole. Mais lorsque je faisais part de cette passion et de ce désir de devenir comme elle, mes parents ne me prenaient pas au sérieux, pensant que je comprendrais que le chant et la danse étaient plus distraction plus qu'un métier, parce qu'ils savaient d'expérience que le métier d'artiste est loin d'être stable. Alors que moi... et bien, je ne me voyais pas faire autre chose de ma vie. Impossible. Les chansons me touchaient toutes au plus profond de moi, et j'avais ce besoin de les faire ressentir à mon tour en les interprétant. Cela faisait partie intégrante de moi. Me l'enlever, c'était retirer mon essence même, ce qui faisait de moi qui j'étais. J'admet que souvent, je leur en ais voulu de ne pas me croire, de ne pas m'encourager. Malgré tout, je les aimais... c'est normal. Je suis entrée au collège, où je n'étais pas vraiment très appréciée, mais cela m'importait peu, je n'ai jamais prit garde à l'opinion des gens à mon égard. Cela n'en valait pas la peine. Il y aura toujours des gens prêt à ternir votre image, des gens trop bête ou trop jaloux pour supporter que vous soyez meilleur qu'eux. Or j'étais meilleure qu'eux, par bien des côtés. Arriva alors l'âge de mes treize ans... Cela faisait bien une semaine, et nous étions à la veille de Noël. New York propose toujours bon nombre de festivités plus intéressantes les unes que les autres pour ceux qui le désirent ( et oui, même encore maintenant ), et nous avions passé une bonne partie de la journée à nous amuser là bas. C'était assez cool, on était tous les trois, on faisait les fous, on chantait, jouait, riait, en bref, une superbe journée. Arrivés en fin d'après midi, nous avions décidé qu'il était temps de rentrer chez nous, ce que nous fîmes du reste. Mais durant le trajet en voiture, un camion sortis de nulle part et nous rentra dedans. Je ne sais pas ce qui s'est passé. Comment j'ai été éjectée de la voiture, tout ça. Tout ce que je sais, c'est que je me suis retrouvée à quelques mètres de la voiture qui avait commencé à prendre feu. Je voulais crier, je ne pouvais pas. Je voulais me relever... aucun membre ne me répondait. Je ne pouvais que contempler, de là où j'étais, face contre terre. J'avais mal, j'avais peur, je paniquais. Puis le noir total. Lorsque je revins à moi, j'étais à l'hospital. Sur le coup, je ne compris pas pourquoi j'étais ici, mais bien vite, les derniers souvenirs refirent surface. De nouveau, je paniquais, le moniteur à côté de moi en attesta, les bip réguliers s'étaient soudainement affolés, en même temps que mon coeur. Alertés, des infirmières se précipitèrent dans ma chambre, tandis que je les suppliais de me renseigner sur mes parents. Peine perdue... une bonne dose de calmants et je tombais comme une masse. Un peu plus tard, lorsque je m'éveillais de nouveau, j'étais encore un peu hagarde, mais je me souvenais suffisamment bien de ce qui s'était passé précédemment, aussi avais-je arraché tout fil et toute aiguille pouvant être relié(e) à moi, non sans difficulté et non sans me faire mal. Je suis finalement tombée sur une infirmière qui a accepté de me conduire à ma mère. Il était trop tard, j'aurais dû être là bien avant et je n'étais là que maintenant, sur ses tout derniers instants. Mes dernières paroles furent " Je t'aime ". En général, on fait extrêmement attention aux dernières paroles que l'on a adressé au défunt, du moins lorsque cette personne était quelqu'un que l'on aimait. Parfois nous regrettons nos derniers mots, parfois on se console en se disant qu'au moins il ou elle est partit en emportant un mot gentil. Moi... je ne me suis jamais inquiétée de cela. Peu importe mes derniers mots, ce n'est pas ce qui me la ramène. Toutefois depuis, je suis incapable de prononcer à haute voix ces trois petits mots que certains ressentent pourtant tant le besoin d'entendre. Par peur sans doute... peur de perdre cette personne également. Qu'importe la manière. Moi je l'avais dis à ma mère et la seconde qui suivait, elle avait rendu l'âme. Qui me dit que je ne perdrais pas aussi quelqu'un d'autre rien qu'en lui disant ces mots ? Enfin... j'ai toujours pensé que c'était pour cette raison que je faisais un blocage. Peut-être y a-t-il une autre raison. Je ne sais pas... parfois je reste un mystère pour moi même... Bref. Suite à cela, on m'a envoyé chez ma grand mère. J'y suis resté... une à deux semaines, mais finalement, le juge, jugeant que vu la situation présente, ce serait plus à moi de m'occuper d'elle que l'inverse, a décidé de m'envoyer chez ma tante. Apparemment, j'avais besoin qu'on s'occupe de moi. Sans doute mon comportement le laissait-il supposer, mais ce n'était pas le cas, loin de là. Enfin j'essayais de m'en convaincre, et ça marchait plutôt bien. J'ai donc été envoyée à Denver, dans le Colorado. Super n'est-ce pas, quand on pense que mon rêve se trouvait à Broadway, et que Broadway se trouve à New York, soit à 2622 km d'où je devais vivre ! J'aimais ma tante, ne vous méprenez pas. Toutefois... c'était trop dur de vivre dans ce monde sans mes parents alors que j'avais vraiment besoin d'eux. Comme tout enfant. Aussi, peu après m'être installée chez ma tante, j'avais conclus un marché avec un dealer. Ce monde n'était pas le mien. J'aurais dû mourir dans cet accident, et j'avais survécu. Ce n'était pas une chance contrairement à ce qu'avaient dit les médecins. Ces fractures à mon poignet et à ma jambe n'étaient pas des miracles, mêmes compte tenu de la situation. Je vivais. Or j'aurais dû mourir. Tout simplement. Je ne serais plus un point pour personne, et encore moins pour moi même. J'avais donc retrouvé mon dealer dans une ruelle où nous avions fait l'échange. Un mélange de différentes drogues. Il suffisait d'en prendre un peu trop et je mourrais. Et effectivement, il en a fallu de peu. Vraiment peu. Mais j'ai simplement fini dans le coma, un coma dont je ne voulais même pas trouver la sortie. Seulement voyez vous, j'accepte de mourir. Ou de rester bloquée dans un coma. Mais pas sans me battre. Je ne veux pas juste accepter les faits, je veux savoir que j'ai fais ce que j'ai pu. Et donc, malgré ma non envie de sortir de cet état, j'ai trouvé la sortie... malheureusement. Au passage, j'ai compris que j'avais vraiment peur des hospitaux... pas vraiment étonnant vu les circonstances. Selon le médecin, j'ai été cliniquement morte, durant une dizaine de secondes. Cliniquement morte... Quelle ironie. A mon réveil, il n'y avait personne à mon chevet, le docteur et ma tante se trouvaient dehors. Sans qu'ils le sachent, je me suis levée et les ais écoutés. Le médecin lui suggérait de me faire entrer en psychiatrie quelques temps, puisque visiblement, je n'étais pas stable. J'ai vite comprit que l'assistante sociale était là aussi, puisqu'elle approuvait ledit médecin, ajoutant que ma tante était sans doute pour responsable de ce qui se passait maintenant. Je n'en revenais pas. Ils faisaient plus de recherche sur quelqu'un qui faisait partie de ma famille que sur des gens demandant le statut de famille d'accueil ! Je commençais à craindre que ma tante n'accepte, mais ce ne fut pas le cas. Elle les rembarra, refusant de me faire interner. De toute manière, une fois qu'on entre là bas, on n'en ressort plus. C'est comme la psychanalyse : la moindre chose que vous dites ou que vous faites est analysée et fini par sortir de son contexte. Si vous n'êtes pas déjà fous en y entrant, vous le devenez. Si vous l'êtes déjà... n'espérez pas trop une amélioration. Enfin, passons. Lorsque je suis rentré chez ma tante, j'avais promis de ne plus jamais tenter de me suicider. Pas seulement parce qu'aucune de nous ne voulait me voir finir avec des gens que je ne connaissais pas et que je ne pourrais jamais supporter, mais aussi parce que j'avais bien vu à quel point cela avait fait mal à ma tante. J'avais cru que seul moi souffrirait, et je m'étais trompée. Toutefois, une chose était certaine : j'avais changé. J'étais devenue plus forte et d'apparence, je semblais être dénuée de toute émotions humaine. Avec le temps je suis devenue meilleure à ce jeu, c'est normal. Mais j'avais déjà décidé une chose : je serais différente. Je ne ressemblerais en rien aux gens de cette ville, et personne ne saurait comment m'atteindre. Le soir, je sortais seule, pour marcher au bon air de la nuit. Avant j'aurais eut peur, mais depuis tout ce qui s'était passé, ce n'était plus le cas. On a peur lorsque l'on sait que l'on a quelque chose à perdre, or moi... je n'avais plus rien à perdre. Pas même ma vie. C'est d'ailleurs cela qui m'a toujours rendue plus forte, le fait que je n'avais plus peur. Pourquoi ne pas rester tranquillement dans mon lit ? Parce que je ne pouvais pas. A peine fermais-je les yeux que les images de notre accident me revenait en mémoire, et ce n'était guère mieux lorsque je parvenais à m'endormir. Quoi qu'il en soit le temps à passé, et je suis devenue meilleure, que ce soit pour cacher mes émotions ou mentir. Quelque chose d'autre a changé en moi. Car soudain, je n'étais plus Phoebe Parker, une jeune humaine de treize ans venant d'être traumatisée par la mort de ses parents, diagnostiquée instable parce qu'elle a voulu les rejoindre. J'étais une nouvelle version de cette jeune fille, plus dure, plus froide, plus franche, plus flippante. Plus flippante car la nuit, je sortais et me mettait à l'épreuve. Mon but, le seul et l'unique : devenir meilleure. Ne plus jamais me laisser faire, ne plus jamais laisser quiconque me marcher dessus ou se mettre en travers de mon chemin. Ma tante l'avait bien compris. C'était ma façon de survivre. Ce n'était peut-être pas la plus saine, mais c'était mieux que de se laisser crever comme un chien sur la tombe de son maître. Je n'avais plus peur de rien ni de personne, et je n'attendais qu'une chose : le prochain défi. Ma vie à continué, j'ai fini le lycée, puis il a été temps pour moi d'entrer à l'université, que j'ai rapidement laissé tomber. Je n'avais nullement besoin d'un professeur pour me dire comment chanter, ou pour me donner une tonalité différente de celle que j'ai. J'avais besoin d'une scène et d'un public, c'était tout. Mais il est une chose qui n'a pas été mentionnée, et qui est pourtant une information des plus capitale : le WICKED, et le monde en lui même d'ailleurs. Vous avez entendu parlé de la Braise ? Cette maladie qui vous ronge le cerveau, vous faisant devenir peu à peu une espèce de zombie, un être pas tout à fait vivant, mais pas tout à fait mort non plus. C'est une maladie incurable, créée et envoyée dans le monde par le WICKED. Mais cela... le WICKED se charge bien de le cacher. Il veut agir sur les gens comme un lavage de cerveau, ne leur apprenant depuis toujours que ceci : WICKED is good. Mais il n'existe jamais ce genre d'institut sans qu'une riposte ne se créée à son tour ; et cette riposte fut le Bras-Droit, une organisation que ma tante soutient, mais dont elle n'avait jamais eus le courage de faire partie. Elle voulait rester loin des problèmes, vivre une vie normale, ou à moitié normale compte tenu des circonstances. Mais avec mon arrivée, et avec ce que j'étais devenue, cette espèce de monstre assoiffé de sang se la jouant remake de Dexter ( notez ici que j'exagère, à peine mais j'exagère ! ), elle avait pensé que, peut-être, je considérerais moins mon existence comme un fardeau si, en plus de suivre ma passion, je faisais partie d'un groupe de gens ayant le même but que moi : ouvrir les yeux à la populasse, détruire le WICKED. C'est ainsi qu'un jour nous eûmes droit à une conversation typiquement tante/nièce... où elle me parla du Bras-Droit. Elle me laissait l'opportunité. Ce n'était pas rémunéré, je ne gagnerais jamais ma vie en les rejoignant, cela ne devait en aucune façon me détourner du chemin que je m'étais tracé. Ce serait... la même chose que toutes les nuits. En mieux, peut-être. Ai-je confiance en le Bras-Droit ? Pas vraiment non. Mais à ma décharge, je n'ai confiance en personne, à part en moi même. Ai-je trouvé ma place au sein de ce groupe ? Pas vraiment, non. Mais d'un autre côté, je n'ai jamais vraiment cherché à me faire des liens. Tout au plus, je combat comme à mon habitude, je n'en fais qu'à ma tête comme à mon habitude et j'emmerde tout le monde, comme à mon habitude. Mais maintenant, c'est à moitié légal ! ... Sauf quand j'emmerde le boss et que je fais ce que je veux, c'est à dire... tout le temps. Et maintenant ? Et bien je continue, je m'accroche et... je survis.
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| | | Lawrence Millers - WICKED IS GOOD - Messages : 29 Avatar : Iwan Rheon Pseudo : Hope Copyright : British touch | Tumblr | endlesslove Occupation : Superviseur pour le WICKED
| (#) Sujet: Re: Phoebe Lea Parker - « Il n'y a pas de secrets mieux gardés que ceux que l'on devine. » Lun 20 Avr - 22:58 | |
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| | | | (#) Sujet: Re: Phoebe Lea Parker - « Il n'y a pas de secrets mieux gardés que ceux que l'on devine. » Lun 20 Avr - 23:06 | |
| Je sais que je totalement folle ! Je ne vais probablement pas m'en sortir et me noyer sous les rps&fiches mais OSEF !!! JE T'AIME AUSSI MA HOPE |
| | | | | | | | (#) Sujet: Re: Phoebe Lea Parker - « Il n'y a pas de secrets mieux gardés que ceux que l'on devine. » Mar 21 Avr - 7:04 | |
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| | | Franklin Teller SUBJECT A8: THE PROTECTOR Messages : 62 Avatar : colton haynes Pseudo : spf (line) Copyright : endlesslove (avatar) wild heart + tumblr + the script (signature) Occupation : maton des medjacks, il prend son rôle très à coeur et grogne lorsque les blocards casse-cou reviennent en sale état pour des broutilles, les maudissant et les menaçant de ne plus les soigner ou d'en faire de la chair à pâté pour les griffeurs mais son instinct protecteur fini toujours par l'emporter.
| (#) Sujet: Re: Phoebe Lea Parker - « Il n'y a pas de secrets mieux gardés que ceux que l'on devine. » Mar 21 Avr - 9:04 | |
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| | | | (#) Sujet: Re: Phoebe Lea Parker - « Il n'y a pas de secrets mieux gardés que ceux que l'on devine. » Mar 21 Avr - 9:30 | |
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| | | | (#) Sujet: Re: Phoebe Lea Parker - « Il n'y a pas de secrets mieux gardés que ceux que l'on devine. » Mar 21 Avr - 9:46 | |
| Jsuis trop une rebelle, wesh ! XD Merci à vous deux ♥ |
| | | Volt Teller SUBJECT B9 : THE NURTURER Messages : 277 Avatar : holland queen roden. Pseudo : blackthorns, aka kim. Copyright : carole la luciole, la plus belle du monde + tumblr. Occupation : maton des cuistots - pas de grand-monde donc -, maman grincheuse du bloc, raccommodeuse à ses heures perdues. Inventaire : une brosse à cheveux, et puis tout ce qu'il y a dans sa cuisine, même si y'a pas son nom dessus. ça coupe bien quand mêmes, les lames affilées. ah, et aussi une casquette du wicked, qu'elle s'empêche pour le moment de brûler, au cas où ça servirait un jour.
| (#) Sujet: Re: Phoebe Lea Parker - « Il n'y a pas de secrets mieux gardés que ceux que l'on devine. » Mar 21 Avr - 15:58 | |
| lea au bras droit bienvenue |
| | | Messages : 41 Avatar : thomas mcdonell. Pseudo : pudding morphina. Copyright : © avatar : enjoy. Occupation : pour le moment, je suis apprenti mercenaire au sein du bras droit. c'est mieux que de rester aux cuisines, à jouer un rôle imposé.
| | | | | (#) Sujet: Re: Phoebe Lea Parker - « Il n'y a pas de secrets mieux gardés que ceux que l'on devine. » Mar 21 Avr - 16:19 | |
| Volt : A dream come true ? xD Clayton : ... The 100 ? T_T |
| | | Messages : 41 Avatar : thomas mcdonell. Pseudo : pudding morphina. Copyright : © avatar : enjoy. Occupation : pour le moment, je suis apprenti mercenaire au sein du bras droit. c'est mieux que de rester aux cuisines, à jouer un rôle imposé.
| (#) Sujet: Re: Phoebe Lea Parker - « Il n'y a pas de secrets mieux gardés que ceux que l'on devine. » Mar 21 Avr - 16:22 | |
| euh non. j'ai jamais été sur un forum the 100. non mais quand je dis longtemps, genre deux ans quoi. |
| | | | (#) Sujet: Re: Phoebe Lea Parker - « Il n'y a pas de secrets mieux gardés que ceux que l'on devine. » Mar 21 Avr - 16:24 | |
| Pourquoi ai-je la mauvaise impression que ça s'est mal fini ? xD |
| | | Messages : 41 Avatar : thomas mcdonell. Pseudo : pudding morphina. Copyright : © avatar : enjoy. Occupation : pour le moment, je suis apprenti mercenaire au sein du bras droit. c'est mieux que de rester aux cuisines, à jouer un rôle imposé.
| (#) Sujet: Re: Phoebe Lea Parker - « Il n'y a pas de secrets mieux gardés que ceux que l'on devine. » Mar 21 Avr - 17:24 | |
| ah non non, enfin je me souviens plus, mais je me souviens que de ton pseudo et ton avatar en fait ** |
| | | | (#) Sujet: Re: Phoebe Lea Parker - « Il n'y a pas de secrets mieux gardés que ceux que l'on devine. » Mar 21 Avr - 17:32 | |
| Han merci c'est gentil ♥ Par contre moi, je vois pas de quel fow tu me parles :0 En deux ans, j'en ai fais des fows xDDD Dis moi tout ! Quel forum ? Qui étais-tu ? :DDD En tout cas je suis contente de te retrouver ♥ |
| | | Jaime King SUBJECT A5 : THE SKETCHER Messages : 515 Avatar : Toby Regbo Pseudo : Summer Child (Coralie) Copyright : Ti (ava) Ziggy Stardust (signa) Occupation : Maton des cartographes, vous savez, les types qui sont derrière et qui décodent le charabia des coureurs. Inventaire : Un vieux carnet à la couverture de cuir, rempli de notes, gribouillis et portraits des Blocards. Un crayon solide et tout-terrain, qui porte les marques des doigts de son possesseur.
| (#) Sujet: Re: Phoebe Lea Parker - « Il n'y a pas de secrets mieux gardés que ceux que l'on devine. » Mar 21 Avr - 21:17 | |
| Bienvenue bienvenue ma jolie ! |
| | | | (#) Sujet: Re: Phoebe Lea Parker - « Il n'y a pas de secrets mieux gardés que ceux que l'on devine. » Mar 21 Avr - 21:30 | |
| OMYGAD CE FEAT *bave* Merciiiiiiiiiiiiiii Réserve moi un lien ! |
| | | Thom Paylor - WICKED IS GOOD - Messages : 25 Avatar : gaisford, james gaisford Pseudo : paper towns Copyright : av halloween // gifs tumblr Occupation : bâtisseur Inventaire : rien de spécial pour le moment
| | | | | (#) Sujet: Re: Phoebe Lea Parker - « Il n'y a pas de secrets mieux gardés que ceux que l'on devine. » Mer 22 Avr - 15:27 | |
| Oui j'y étais ! Tu étais qui ? |
| | | Percy Wombley SUBJECT B21 : THE PEACE KEEPER Messages : 527 Avatar : ♦ shailene woodley Pseudo : ♦ szalona. (paula) Copyright : ♦ halloween (avatar) | bizzle (signature) Occupation : ♦ cartographe, bloc b.
| (#) Sujet: Re: Phoebe Lea Parker - « Il n'y a pas de secrets mieux gardés que ceux que l'on devine. » Jeu 23 Avr - 11:26 | |
| bienvenue, et bonne chance pour ta fiche |
| | | | (#) Sujet: Re: Phoebe Lea Parker - « Il n'y a pas de secrets mieux gardés que ceux que l'on devine. » Jeu 23 Avr - 12:42 | |
| La belle Shaileen *o* Merciiiiiii |
| | | Thom Paylor - WICKED IS GOOD - Messages : 25 Avatar : gaisford, james gaisford Pseudo : paper towns Copyright : av halloween // gifs tumblr Occupation : bâtisseur Inventaire : rien de spécial pour le moment
| | | | | (#) Sujet: Re: Phoebe Lea Parker - « Il n'y a pas de secrets mieux gardés que ceux que l'on devine. » Jeu 23 Avr - 22:05 | |
| Oh le grand méchant loup ! xDDD |
| | | | (#) Sujet: Re: Phoebe Lea Parker - « Il n'y a pas de secrets mieux gardés que ceux que l'on devine. » | |
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| | | | Phoebe Lea Parker - « Il n'y a pas de secrets mieux gardés que ceux que l'on devine. » | |
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