★★★ La vie n'a jamais été facile pour tout le monde. Même, pour personne à vrai dire. Pourquoi nous avoir infligés ça ? Qu'est ce qu'on a fait pour mériter ça ? Est-ce le destin du hasard ? Peut-être que le destin veut ça pour une bonne raison précise. Je me pose toujours ses questions qui trottent ma tête depuis des lustres. Je m'appelle Milo Fullbuster, je suis né à Denver et j'y habite depuis toujours. Je suis d'origine coréenne, fière de mon origine depuis tout petit. J'étais un enfant calme, un enfant sans histoire à l'école. Je n'ai jamais connu mes parents biologiques, on m'a adopté. Mes parents adoptifs sont des Américains, ils étaient très gentils avec moi, il était strict mais gentil. Leurs fils de 8 ans est mort d'une maladie qui s'appelle la braise. Les pauvres, il avait un manque d'un enfant, alors ils ont décidé de m'adopter. Il ne frappait pas comme les autres parents, c'était des gens bien sans histoire, avec personne. Je trouvais que la vie était injuste, pour tout, la violence, les moqueries, l'injustice, etc. Une fois, j'ai posé une question à mon père. « Papa ? » Il me répondit en me regardant « Oui Milo ? »  Je lui pose alors ma question d'un air intrigué « Pourquoi la violence existe dans le monde ? » Mon père me répondit d'un ton ferme et sincère, comme toujours. « Je ne sais pas pourquoi la violence existe. La vie a été construite comme ça, mais faut vivre avec Lee. » Je voyais que mon père ne savait pas pourquoi la violence existait dans se monde. Mais je le comprends parfaitement, c'est normal.

Un jour, des agents d'une organisation sont venus à la maison. Mon père et ma mère savaient pourquoi il était là. « Monsieur Fullbuster. » me regarda-t-il sérieusement. « Je m'appelle Alex, je travailles pour le WICKED. Tu es bien Milo ? » J'étais très surpris, je ne savais pas ce qu'il me voulait réellement. Sérieusement, j'étais très intrigué. Le WICKED c'est quoi ? C'est une organisation ? Il me veulent quoi sérieusement ? Je lui réponds ayant les mains dans mes poches « Enchantées. Que puis-je pour vous Alex ? » Il s'approcha de moi en me disant « Vous devez venir avec nous monsieur Fullbuster. » Je recula de quelques pas en tournant ma tête vers papa et maman « Qu'est-ce que ça veut dire papa ? Tu savais qu'il allait venir ? C'est qui ses gens là ? Il me veulent quoi ? » Mon père soupira en mettant sa main sur mon épaule. « Tu dois les suivres Milo, fait moi confiance. Tout ira bien, je te le promets. Tu as ma parole, tu le sait bien. » Mon père savait qu'il allait venir ses agents ? C'est quoi ce bordel. Ma mère s'approcha de moi en me faisant un bisous sur mon front pour me dire peut être adieu. Elle me chuchota dans mes oreilles. « Au revoir mon fils. » De quoi au revoir ? Mais, sérieusement ? J'avais peur sur le coup je me posais des millions de questions sur tout. Que des malheurs ? « Attend papa, Papa qu'est ce qu'... ? » Je n'ai même pas eu le temps de finir ma phrase que les deux agents m'emmena de force avec eux. « Hey maman ?!!! » Je ne comprenais pas du tout la situation, pourquoi moi ? Qu'est ce que j'ai fais pour mérité ça ? Comme par hasard c'est toujours moi qui ai des malheurs. « Papa !!! » Je me debattais des agents, mais je n'arrivais pas a m'enfuire d'eux. Toute façon, je savais que je n'allais plus revoir mon père ni ma mère. J'espère les revoirs un jour, mais je pense qu'on c'est le contraire de mon souhait... Ce n'est qu'un au revoir.

Je ne me sentais plus du tout, je croyais que j'étais complétement mort. Mais je pense que maintenant, mon destin commence réellement. Mes paupières s'ouvraient difficilement, je n'arrivais pas. Puis, je me réveille brusquement dans une sorte de cage, je crachais de l'eau qui sortait de ma bouche, pouvant presque plus respirer. J'en pouvais plus, je croyais que j'étais complétement mort. La cage commence à bouger, elle monte petit à petit. Paniqué de la situation, je commence à regarder le sol, les murs, tout. Rien, je ne savais plus qui j'étais, ni mon prénom. L'endroit était sombre, avec des bruits monstrueux quand je m'approchais des cages. J'avais peur à vrai dire, oui, je paniquais en regardant l'endroit. Mais, ou je suis ? Ou ça m'emmène ? Pas de réponse a mes questions. La cage d'ascenseur accélérait plus vite qu'avant, c'était flippant, c'était très rapide. La cage s'arrête toute en haut. Tout d'un coup, il y a une sorte de sonnerie qui retentit, les volets s'ouvrent. La lumière retentisait, j'avais du mal à ouvrir mes yeux. Petit à petit, j'ai réussi a mieux voir, j'entends des bruits de plusieurs personnes. Plusieurs jeunes garçons me regardaient en souriant avec leurs rires moqueurs, je ne savais pas qui il était. Un jeune descend pour venir m'aider en me tendant sa main, alors je tends ma main pour qu'il me relève et qu'ils me sortent de cette cage. Il me demanda en souriant « Comment tu t'appelle ? » J'observais un peu la zone, je voyais des géants murs blanc. Je me rappelle enfin de mon prénom Delsin, je lui réponds en le regardant, paniqué de ce qui m'arrive. « Léo. Je... Je m'appelle Léo. Euh... Ou sommes nous ? »  Il me souriait en me regardant, il était content d'avoir un nouveau parmi-eux. « Moi c'est Archy, bienvenue au bloc Léo. Je vais tout expliquer en détails. Viens avec moi. » Au bloc ? C'est quoi le bloc ? Archy décide de me prendre à part pour m'expliquer un peu ce qu'il se passe. Pendant plusieurs heures, il me fait visiter le bloc en m'expliquant les règles les plus importantes que je dois respecter avec les autres blocards. Quand il m'expliquait qu'il n'ont pas encore trouver de sortie, je flippais, je l'avoue, mais j'étais fortement intrigué par le labyrinthe et je voulais y aller pour trouver cette sortie.

Les jours et les mois, peut être années sont passer depuis le temps. Dans le bloc, je connais tout le monde maintenant, nous sommes une famille, nous survivons ensemble, nous mangeons ensemble et nous dormons ensemble H24. Le chef du bloc qui est Archy et les autres matons m'ont nommé le maton des coureurs ou le chef comme vous voulez. J'ai fait mes preuves maintenant, j'ai la responsabilité de mes coureurs, je m'occupe d'eux tout le temps. Maintenant, je connais le labyrinthe comme ma poche malgré que nous n'avons pas encore trouvé de sortie. Nous courons tous les matins pour trouver une sortie. Je pense qu'il peut y avoir une sortie, mais ce n'est pas le cas pour l'instant. Je rassure les blocards en disant que nous avons des pistes petit à petit quand nous parcourons le labyrinthe, mais en vrai, nous avons rien. Nous sommes complétement perdus. Je hais les gens qui nous ont emmenés ici, il doivent bien prendre du plaisir à nous voir galéré.